Le 1er vice-président du Conseil économique et social (CES), Tiémoko Yadé Coulibaly, a, au cours de leur première séance de travail, appelé les conseillers à porter haut le flambeau de l’institution, jeudi 13 novembre, à leur siège, à Abidjan Plateau.
Cette réunion a été l’occasion pour M. Coulibaly d’encourager les conseillers économiques et sociaux à faire preuve de « sagacité, détermination et faire profiter leur expérience de telle sorte que le CES devienne une institution qu’on écoute ».
La formation de l’élite, à travers la révision du système éducatif ivoirien, l’engagement de réformes nécessaires pour accéder à une flexibilité des économies locales et la question de la décentralisation sont entre autres, les sujets sur lesquels il a appelé ses collaborateurs à réfléchir.
En plus du « renouvellement des vives félicitations pour la confiance placée en eux et la cordiale bienvenue à tous ceux qui arrivent pour la première fois en séance de travail au CES », le vice-président du CES a plaidé pour que « cette 10è mandature soit le lieu d’intenses réflexions, de convivialité et surtout d’efficacité pour continuer à maintenir plus haut le flambeau ».
Heureux de participer à l’écriture d’une page nouvelle du CES qui a, à charge l’accompagnement du Gouvernement dans la définition de sa politique économique et sociale, le 1er vice-président a martelé que les « réformes que les conseillers économiques et sociaux entreprendront doivent conduire à un partenariat-gagnant ».
« Réfléchir à un nouveau citoyen formé intellectuellement et moralement pour arriver à l’émergence » reste notre premier devoir, a-t-il souligné avant de rassurer ses collaborateurs de son « entière disponibilité ».
Cinq commissions fondent le Conseil économique et social, à savoir commission des affaires économiques et financières, commission des affaires agricoles et domaniales, commission des affaires sociales et culturelles, commission de l’environnement et de la qualité publique, et commission de la communication des nouvelles technologies.
La création d’une commission ad-hoc est également possible si les conseillers jugent de la nécessité de réfléchir sur un sujet d’intérêt général », a-t-il conclu.
Cette réunion a été l’occasion pour M. Coulibaly d’encourager les conseillers économiques et sociaux à faire preuve de « sagacité, détermination et faire profiter leur expérience de telle sorte que le CES devienne une institution qu’on écoute ».
La formation de l’élite, à travers la révision du système éducatif ivoirien, l’engagement de réformes nécessaires pour accéder à une flexibilité des économies locales et la question de la décentralisation sont entre autres, les sujets sur lesquels il a appelé ses collaborateurs à réfléchir.
En plus du « renouvellement des vives félicitations pour la confiance placée en eux et la cordiale bienvenue à tous ceux qui arrivent pour la première fois en séance de travail au CES », le vice-président du CES a plaidé pour que « cette 10è mandature soit le lieu d’intenses réflexions, de convivialité et surtout d’efficacité pour continuer à maintenir plus haut le flambeau ».
Heureux de participer à l’écriture d’une page nouvelle du CES qui a, à charge l’accompagnement du Gouvernement dans la définition de sa politique économique et sociale, le 1er vice-président a martelé que les « réformes que les conseillers économiques et sociaux entreprendront doivent conduire à un partenariat-gagnant ».
« Réfléchir à un nouveau citoyen formé intellectuellement et moralement pour arriver à l’émergence » reste notre premier devoir, a-t-il souligné avant de rassurer ses collaborateurs de son « entière disponibilité ».
Cinq commissions fondent le Conseil économique et social, à savoir commission des affaires économiques et financières, commission des affaires agricoles et domaniales, commission des affaires sociales et culturelles, commission de l’environnement et de la qualité publique, et commission de la communication des nouvelles technologies.
La création d’une commission ad-hoc est également possible si les conseillers jugent de la nécessité de réfléchir sur un sujet d’intérêt général », a-t-il conclu.