Les hommages de la Nation ont été rendus pour la dernière fois, vendredi 14 novembre, à l’écrivain Ahmadou Kourouma. L’écrivain décédé le 11 décembre 2003 à Lyon dont les restes ont été rapatriés le mercredi 12 novembre pour être définitivement à Abidjan, recevait ainsi les hommages de la Nation ivoirienne pour avoir été « une belle vitrine de la Côte d’Ivoire sur le monde extérieur» selon le ministre d’Etat, ministre du Plan et du Développement, Albert Toikeusse Mabri, représentant le Chef du Gouvernement.
« Aux quatre coins du monde, chaque fois que son nom est évoqué lors des grandes rencontres littéraires, c’est notre pays, c’est son pays, la Côte d’Ivoire qui est célébrée», a clamé le ministre d’Etat à cette cérémonie d’hommage qui se tenait au funérarium de l’IVOSEP, à Treichville.
Pour sa part, le ministre de la Culture et de la Francophonie, Maurice Kouakou Bandaman a remercié la famille de l’illustre disparu pour avoir associé l’Etat au rapatriement de la dépouille mortuaire de l’écrivain.
A titre posthume, l’écrivain a été élevé à la dignité de Grand Officier dans l’Ordre national de Côte d’Ivoire. Les insignes de sa dignité ont été donnés à sa famille qui a ensuite mis le cap sur le cimetière de Williamsville, dans la commune d’Adjamé pour procéder à l’enterrement dans l’intimité familiale.
L’écrivain Ahmadou est l’auteur de plusieurs œuvres dont la plus célèbre, Les Soleils des Indépendances qui figurent au programme d’étude dans le cycle secondaire ivoirien.
Les Soleils des Indépendances ; Monnè, outrages et défis, En attendant le vote des bêtes sauvages Allah n’est pas obligé ; Quand on refuse, on dit non ; Le Diseur de vérité, composent sa bibliographie.
Avec son œuvre « Allah n’est pas obligé », Ahmadou Kourouma avait décroché le prix Renaudot en 2000, et aussi le prix Goncourt des lycéens.
« Aux quatre coins du monde, chaque fois que son nom est évoqué lors des grandes rencontres littéraires, c’est notre pays, c’est son pays, la Côte d’Ivoire qui est célébrée», a clamé le ministre d’Etat à cette cérémonie d’hommage qui se tenait au funérarium de l’IVOSEP, à Treichville.
Pour sa part, le ministre de la Culture et de la Francophonie, Maurice Kouakou Bandaman a remercié la famille de l’illustre disparu pour avoir associé l’Etat au rapatriement de la dépouille mortuaire de l’écrivain.
A titre posthume, l’écrivain a été élevé à la dignité de Grand Officier dans l’Ordre national de Côte d’Ivoire. Les insignes de sa dignité ont été donnés à sa famille qui a ensuite mis le cap sur le cimetière de Williamsville, dans la commune d’Adjamé pour procéder à l’enterrement dans l’intimité familiale.
L’écrivain Ahmadou est l’auteur de plusieurs œuvres dont la plus célèbre, Les Soleils des Indépendances qui figurent au programme d’étude dans le cycle secondaire ivoirien.
Les Soleils des Indépendances ; Monnè, outrages et défis, En attendant le vote des bêtes sauvages Allah n’est pas obligé ; Quand on refuse, on dit non ; Le Diseur de vérité, composent sa bibliographie.
Avec son œuvre « Allah n’est pas obligé », Ahmadou Kourouma avait décroché le prix Renaudot en 2000, et aussi le prix Goncourt des lycéens.
