Abidjan - Le ministre d’Etat, Albert Mabri Toikeusse, représentant le Premier ministre Kablan Duncan et son collègue de la Culture et de la Francophonie, Maurice Kouakou Bandaman, ont exprimé, vendredi à l’IVOSEP de Treichville, la reconnaissance du gouvernement et de la nation pour la forte mobilisation des Ivoiriens lors des obsèques d’Ahmadou Kourouma.
Mabri Toikeusse s’est félicité des cérémonies organisées pour honorer la mémoire de cet écrivain de renommée mondiale. "Ahmadou Kourouma a porté haut l’étendard de notre pays ; donc honneur doit être rendu à cet illustre fils de la Côte d’Ivoire. Ses œuvres sont en bonne place dans les établissements et contribuent à la formation des élèves", a-t-il signifié.
"Accompagnons, avec nos prières et nos pensées, celui dont les œuvres vivront pour longtemps", a exhorté M. Mabri qui présentait les condoléances du gouvernement à l’épouse, Christiane Kourouma, à ses enfants et à sa famille.
Le ministre de la Culture a exprimé ses remerciements à Mme Kourouma pour les démarches entreprises pour le retour des restes de son époux. "C’était en 2013 que le corps d’Amadou Kourouma devrait rentrer en Côte d’Ivoire, selon le chronogramme de la famille. Nous avons juste joué notre rôle dans une action qui était déjà entamée par la famille", a-t-il révélé.
Il a aussi traduit sa reconnaissance au chef de l’Etat, Alassane Ouattara, pour l’organisation des obsèques nationales. M. Bandaman a par ailleurs tenu à expliquer que seul le président de la République décide de l’organisation d’obsèques nationales. "Il est bien de le préciser", a-t-insisté parce que, selon lui, plusieurs hommes de culture demandent des obsèques nationales.
Des prières ont été faites par l’imam Cissé Djiguiba pour implorer la grâce et la miséricorde d’Allah pour qu’il lui accorde son pardon et son paradis.
Ahmadou Kourouma est décédé en 2003 à Lyon et a été enterré en France. Sa dépouille, arrivée à Abidjan mercredi, a reçu les honneurs militaires avant d’être conduite au cimetière de Williamsville, pour l’inhumation dans le caveau familial.
kkp/kam
Mabri Toikeusse s’est félicité des cérémonies organisées pour honorer la mémoire de cet écrivain de renommée mondiale. "Ahmadou Kourouma a porté haut l’étendard de notre pays ; donc honneur doit être rendu à cet illustre fils de la Côte d’Ivoire. Ses œuvres sont en bonne place dans les établissements et contribuent à la formation des élèves", a-t-il signifié.
"Accompagnons, avec nos prières et nos pensées, celui dont les œuvres vivront pour longtemps", a exhorté M. Mabri qui présentait les condoléances du gouvernement à l’épouse, Christiane Kourouma, à ses enfants et à sa famille.
Le ministre de la Culture a exprimé ses remerciements à Mme Kourouma pour les démarches entreprises pour le retour des restes de son époux. "C’était en 2013 que le corps d’Amadou Kourouma devrait rentrer en Côte d’Ivoire, selon le chronogramme de la famille. Nous avons juste joué notre rôle dans une action qui était déjà entamée par la famille", a-t-il révélé.
Il a aussi traduit sa reconnaissance au chef de l’Etat, Alassane Ouattara, pour l’organisation des obsèques nationales. M. Bandaman a par ailleurs tenu à expliquer que seul le président de la République décide de l’organisation d’obsèques nationales. "Il est bien de le préciser", a-t-insisté parce que, selon lui, plusieurs hommes de culture demandent des obsèques nationales.
Des prières ont été faites par l’imam Cissé Djiguiba pour implorer la grâce et la miséricorde d’Allah pour qu’il lui accorde son pardon et son paradis.
Ahmadou Kourouma est décédé en 2003 à Lyon et a été enterré en France. Sa dépouille, arrivée à Abidjan mercredi, a reçu les honneurs militaires avant d’être conduite au cimetière de Williamsville, pour l’inhumation dans le caveau familial.
kkp/kam