Le Fonds monétaire international (FMI) a estimé, dans une note datant du 12 novembre, que la chute des prix de pétrole sous la barre de des 80 dollars pourrait «soutenir» la reprise économique. «Même s'il est encore trop tôt pour identifier les facteurs à l'œuvre sur l'offre et la demande, la récente chute significative des prix du pétrole pourrait, toutes choses égales par ailleurs, doper la croissance mondiale si elle se prolonge», écrit le FMI dans sa note de surveillance publiée en vue du sommet des chefs d'État du G20 samedi 15 et dimanche 16 novembre à Brisbane (Australie).
Les cours du brut s’installant le 12 novembre sous la barre symbolique de 80 dollars, un niveau inédit depuis quatre ans. «Les faibles prix du pétrole auront des impacts différents à travers le globe, allégeant la pression sur les importateurs net de pétrole (...) mais posant de nouveaux risques pour les pays producteurs», précise le FMI.
Depuis l’été, le prix du brut a chuté de 25 %, l’offre étant durablement supérieure à la demande. Et les marchés sont plutôt enclins à estimer que l’Arabie saoudite, chef de file de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP), ne réduira pas sa production pour soutenir les cours. D’ailleurs, ces dernières semaines, le «gendarme» de l’OPEP n’a pas signalé la moindre intention de le faire. Au contraire, la Saudi Aramco a choisi, le 4 novembre, de réduire ses prix pour conserver ses parts de marché.
Les cours du brut s’installant le 12 novembre sous la barre symbolique de 80 dollars, un niveau inédit depuis quatre ans. «Les faibles prix du pétrole auront des impacts différents à travers le globe, allégeant la pression sur les importateurs net de pétrole (...) mais posant de nouveaux risques pour les pays producteurs», précise le FMI.
Depuis l’été, le prix du brut a chuté de 25 %, l’offre étant durablement supérieure à la demande. Et les marchés sont plutôt enclins à estimer que l’Arabie saoudite, chef de file de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP), ne réduira pas sa production pour soutenir les cours. D’ailleurs, ces dernières semaines, le «gendarme» de l’OPEP n’a pas signalé la moindre intention de le faire. Au contraire, la Saudi Aramco a choisi, le 4 novembre, de réduire ses prix pour conserver ses parts de marché.