Yamoussoukro - Les femmes de Côte d’Ivoires ont exprimé, samedi, à l’occasion de la célébration de la journée de la paix à Yamoussoukro (centre) leur volonté d’investir davantage dans la diversité culturelle, en vue de réduire les tensions inter-communautaires et inter-ethniques dans le pays.
Elles ont, après une journée de réflexion sur le thème ’’ femme et paix, quels défis pour une Côte d’Ivoire émergente à l’horizon 2020’’ , recommandé la prise de conscience du fait que les femmes sont des partenaires essentiels dans la transition de la guerre à la paix. "Et à s’engager collectivement pour représenter une masse critique solidaire suffisante pour faire entendre la voix des femmes et induire le changement".
Ces femmes ont proposé d’accéder au leadership, aux ressources, aux sphères de pouvoir, dans leurs communautés, dans leurs professions, au niveau national, de soutenir et promouvoir un dialogue ouvert à tous et à la réconciliation, en pivilégieant l’intérêt commun.
Les femmes ont suggéré en outre la promotion d’une société civile forte en vue de consolider l’opinion publique, la réformation du système éducatif pour répondre aux exigences de développement, la promotion des instruments nationaux régionaux et internationaux, des droits de l’homme, surtout ceux relatifs aux femmes et à l’enfant, puis préconisé la multiplication des ateliers de femmes sur les questions de paix.
(AIP)
nam/ask
Elles ont, après une journée de réflexion sur le thème ’’ femme et paix, quels défis pour une Côte d’Ivoire émergente à l’horizon 2020’’ , recommandé la prise de conscience du fait que les femmes sont des partenaires essentiels dans la transition de la guerre à la paix. "Et à s’engager collectivement pour représenter une masse critique solidaire suffisante pour faire entendre la voix des femmes et induire le changement".
Ces femmes ont proposé d’accéder au leadership, aux ressources, aux sphères de pouvoir, dans leurs communautés, dans leurs professions, au niveau national, de soutenir et promouvoir un dialogue ouvert à tous et à la réconciliation, en pivilégieant l’intérêt commun.
Les femmes ont suggéré en outre la promotion d’une société civile forte en vue de consolider l’opinion publique, la réformation du système éducatif pour répondre aux exigences de développement, la promotion des instruments nationaux régionaux et internationaux, des droits de l’homme, surtout ceux relatifs aux femmes et à l’enfant, puis préconisé la multiplication des ateliers de femmes sur les questions de paix.
(AIP)
nam/ask