La Journée de la Paix a été célébrée le 15 novembre dernier à Yamoussoukro par les femmes de Côte d’Ivoire, issues de toutes obédiences politiques et de toutes les couches socioprofessionnelles.
« Femme et paix, quels défis pour une Côte d’Ivoire émergente à l’horizon 2020 ? ». C’est autour de ce thème que les femmes de Côte d’Ivoire se sont réunies dans la capitale politique ivoirienne. Le ministre de la Solidarité de la Famille de la Femme et de l’Enfant a saisi cette tribune pour inviter toutes les femmes de Côte d’Ivoire sans distinction d’appartenances politiques, religieuses et ethniques à s’approprier le processus de réconciliation en cours dans le pays. Et à œuvrer activement au maintien de la paix en Côte d’Ivoire.
« Le moment est venu de vous approprier définitivement le processus de réconciliation nationale et de maintien de la paix », a lancé la ministre à l’endroit de ses « sœurs » qui ont effectué nombreuses le déplacement de Yamoussoukro. Anne Ouloto a demandé toutes les femmes présentes à être « des havres de paix » dans leurs maisons, leurs familles politiques, leurs différentes communautés ainsi que leurs différentes religions. Selon la Ministre de la Solidarité de la Famille de la Femme et de l’Enfant, la consolidation de la paix et de la cohésion sociale doit être un devoir pour les femmes de Côte d’Ivoire.
« Soyez des architectes de la paix, de la Cohabitation communautaire et de la cohésion sociale », leur a-t-elle dit. D’où ses félicitations à Agnès Monnet, Secrétaire général et FPI (opposition) et Henriette Lagou présidente du Parti Renouveau pour la Paix et la Concorde (RPC, opposition). Désormais les femmes de Côte d’Ivoire devront être des acteurs de paix et de cohésion sociale, a souhaité la ministre. Expliquant que les divergences politiques ne devraient en aucun cas entamé et détruire cette paix et cette cohésion sociale.
Cette cérémonie qui a enregistré la participation de la Représentante Spécial du Secrétaire Général de L’Onu en Côte d’Ivoire, Aichatou Mindaoudou, a permis aux femmes de réfléchir sur plusieurs problématiques, entre autres le rôle de la femme dans la construction de la paix, l’incidence de la politique sur la cohésion sociale et bien d’autres.
C’est dans une ambiance conviviale et fort sympathique que les femmes de Côte d’Ivoire ont célébré la Journée de la Paix dans la capitale ivoirienne
« Femme et paix, quels défis pour une Côte d’Ivoire émergente à l’horizon 2020 ? ». C’est autour de ce thème que les femmes de Côte d’Ivoire se sont réunies dans la capitale politique ivoirienne. Le ministre de la Solidarité de la Famille de la Femme et de l’Enfant a saisi cette tribune pour inviter toutes les femmes de Côte d’Ivoire sans distinction d’appartenances politiques, religieuses et ethniques à s’approprier le processus de réconciliation en cours dans le pays. Et à œuvrer activement au maintien de la paix en Côte d’Ivoire.
« Le moment est venu de vous approprier définitivement le processus de réconciliation nationale et de maintien de la paix », a lancé la ministre à l’endroit de ses « sœurs » qui ont effectué nombreuses le déplacement de Yamoussoukro. Anne Ouloto a demandé toutes les femmes présentes à être « des havres de paix » dans leurs maisons, leurs familles politiques, leurs différentes communautés ainsi que leurs différentes religions. Selon la Ministre de la Solidarité de la Famille de la Femme et de l’Enfant, la consolidation de la paix et de la cohésion sociale doit être un devoir pour les femmes de Côte d’Ivoire.
« Soyez des architectes de la paix, de la Cohabitation communautaire et de la cohésion sociale », leur a-t-elle dit. D’où ses félicitations à Agnès Monnet, Secrétaire général et FPI (opposition) et Henriette Lagou présidente du Parti Renouveau pour la Paix et la Concorde (RPC, opposition). Désormais les femmes de Côte d’Ivoire devront être des acteurs de paix et de cohésion sociale, a souhaité la ministre. Expliquant que les divergences politiques ne devraient en aucun cas entamé et détruire cette paix et cette cohésion sociale.
Cette cérémonie qui a enregistré la participation de la Représentante Spécial du Secrétaire Général de L’Onu en Côte d’Ivoire, Aichatou Mindaoudou, a permis aux femmes de réfléchir sur plusieurs problématiques, entre autres le rôle de la femme dans la construction de la paix, l’incidence de la politique sur la cohésion sociale et bien d’autres.
C’est dans une ambiance conviviale et fort sympathique que les femmes de Côte d’Ivoire ont célébré la Journée de la Paix dans la capitale ivoirienne