La station de recherche et de valorisation du palmier à huile, La Mé du Centre National de Recherche Agronomique (CNRA) possède des terrains marécageux à fort potentiel de production. Cette zone marécageuse s’étend sur une superficie de 300ha sur les 1468 de parcelles en production que compte la station.
Seulement, cette zone est restée inaccessible pendant plusieurs années, du fait de l’état de dégradation avancée des infrastructures d’exploitation ; causant ainsi, une perte de plus de 3000tonnes de régimes de palme/an.
C’est pour remédier à cette situation que la direction de la valorisation des résultats de la recherche, sous la coupole de la direction générale de l’institut de recherche, a entamé un vaste projet de réhabilitation de la zone.
En effet, la réhabilitation de la zone marécageuse comprend deux aspects. A savoir, la restauration des ouvrages de génie rural (digues, drains, pistes parcellaires et périmètrales) en vue de permettre une exploitation optimale des parcelles. Ensuite, l’aspect agronomique de la réhabilitation prend en compte le rabattage (coupe des hautes herbes), l’élagage et le rajeunissement des plantations. Il est prévu à cet effet, la replantation de cent (100) ha pour l’année 2015.
Selon les responsables de la direction de la valorisation du CNRA, ce projet dont le coût s’élève à une centaine de millions, permettra d’accroître la production de 6000 tonnes en période de croisière. Ils expliquent cela par la spécificité de la culture de palmiers à huile en zone marécageuse. Ce caractère particulier se traduit par la constance du rendement sur toute l’année et le tonnage par hectare qui est 33% supérieur à la moyenne.
Dr Yté Wongbé, Directeur Général de l’institut de recherche a pu se rendre compte de l’avancée des travaux, lors de la visite de terrain qu’il a effectuée, récemment. Il était accompagné, pour la circonstance, de ses plus proches collaborateurs.
Seulement, cette zone est restée inaccessible pendant plusieurs années, du fait de l’état de dégradation avancée des infrastructures d’exploitation ; causant ainsi, une perte de plus de 3000tonnes de régimes de palme/an.
C’est pour remédier à cette situation que la direction de la valorisation des résultats de la recherche, sous la coupole de la direction générale de l’institut de recherche, a entamé un vaste projet de réhabilitation de la zone.
En effet, la réhabilitation de la zone marécageuse comprend deux aspects. A savoir, la restauration des ouvrages de génie rural (digues, drains, pistes parcellaires et périmètrales) en vue de permettre une exploitation optimale des parcelles. Ensuite, l’aspect agronomique de la réhabilitation prend en compte le rabattage (coupe des hautes herbes), l’élagage et le rajeunissement des plantations. Il est prévu à cet effet, la replantation de cent (100) ha pour l’année 2015.
Selon les responsables de la direction de la valorisation du CNRA, ce projet dont le coût s’élève à une centaine de millions, permettra d’accroître la production de 6000 tonnes en période de croisière. Ils expliquent cela par la spécificité de la culture de palmiers à huile en zone marécageuse. Ce caractère particulier se traduit par la constance du rendement sur toute l’année et le tonnage par hectare qui est 33% supérieur à la moyenne.
Dr Yté Wongbé, Directeur Général de l’institut de recherche a pu se rendre compte de l’avancée des travaux, lors de la visite de terrain qu’il a effectuée, récemment. Il était accompagné, pour la circonstance, de ses plus proches collaborateurs.
