Sassandra - La société agro industrielle SIPEFCI, spécialisé dans la production de palmier à huile et l’huile de palm brute, va bientôt de mettre en place des comités de surveillance pour lutter contre le trafic illégal de la graine de palme dans le département de Sassandra, a appris l’AIP, mercredi, auprès du communication de cette entreprise, Saman Henry César.
Selon M. Saman, la SIPEFCI perd chaque année entre 20 000 et 30 000 tonnes de graines de palme, soit un manque à gagner qui se situe entre 900 millions et 1,3 milliard FCFA.
"La vente des produits à des acheteurs clandestins engendre aussi une perte en recettes fiscales qui doivent revenir aux collectivités territoriales dont la mairie de Sassandra et la Conseil régional du Gbôklè", regrette-t-il.
Une convention entre la SIPEFCI et les coopératives de planteurs, ainsi que les planteurs individuels de palmier à huile de Sassandra engage l’entreprise à financer l’entretien des pistes villageoises, afin de faciliter l'écoulement de la graine à l'usine de la BOLO située entre les sous-préfectures de Sago et de Dakpadou. En retour, la SIPICI effectue des prélèvements sur les recettes des planteurs à l’usine.
iv/sdaf/tm
Selon M. Saman, la SIPEFCI perd chaque année entre 20 000 et 30 000 tonnes de graines de palme, soit un manque à gagner qui se situe entre 900 millions et 1,3 milliard FCFA.
"La vente des produits à des acheteurs clandestins engendre aussi une perte en recettes fiscales qui doivent revenir aux collectivités territoriales dont la mairie de Sassandra et la Conseil régional du Gbôklè", regrette-t-il.
Une convention entre la SIPEFCI et les coopératives de planteurs, ainsi que les planteurs individuels de palmier à huile de Sassandra engage l’entreprise à financer l’entretien des pistes villageoises, afin de faciliter l'écoulement de la graine à l'usine de la BOLO située entre les sous-préfectures de Sago et de Dakpadou. En retour, la SIPICI effectue des prélèvements sur les recettes des planteurs à l’usine.
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