Un professeur de santé internationale à l’Institut Karolinska en Suède a prédit que l’épidémie de virus Ebola atteindrait le point zéro au Liberia dans les deux prochains mois.
Le professeur Hans Rosling, en mission spéciale au Liberia dans le cadre de la Mission des Nations Unies pour la lutte contre Ebola (UNMEER), a déclaré que si les Libériens agissaient correctement, y compris en respectant les mesures préventives, il n’y aurait plus aucun cas de virus Ebola en décembre 2014.
"Nous devons tracer le virus. Nous devons frapper le virus : chaque cas doit être identifié et nous devons retrouver qui était le contact afin que cette personne, potentiellement infectée, puisse être suivie quotidiennement", a déclaré le professeur Rosling.
"Si nous continuons de faire ça, nous pouvons gagner en novembre ou décembre et peut-être en janvier. Si nous ne le faisons pas nous perdrons la bataille", a déclaré M. Rosling sur la radio de la MINUL.
En ce qui concerne les dégâts potentiels de ce virus, M. Rosling a commenté que "il faudra un ou deux mois ou plus pour cesser sa contamination entre humains, mais cela signifie que nous aurons très très peu de morts".
Toutefois, le professer suédois a mis en garde que le Liberia seul ne pourrait vaincre ce virus meurtrier sans une coopération des autres pays durement touchés.
Interrogé sur la marche à suivre pour l’avenir, il a déclaré que "nous devons perfectionner le traçage des contacts et tout le monde doit rester vigilant Nous devons placer les soupçons d’Ebola au premier rang de nos priorités au niveau des familles, des entreprises, partout, afin que les cas suspects soient rapidement dépistés".
Le professeur suédois a commenté qu’une solution de vaccination à long terme conte l’Ebola serait importante, mais que les Libériens devaient surtout rester vigilants et respecter les mesures préventives qu’ils connaissent déjà.
Le professeur Hans Rosling, en mission spéciale au Liberia dans le cadre de la Mission des Nations Unies pour la lutte contre Ebola (UNMEER), a déclaré que si les Libériens agissaient correctement, y compris en respectant les mesures préventives, il n’y aurait plus aucun cas de virus Ebola en décembre 2014.
"Nous devons tracer le virus. Nous devons frapper le virus : chaque cas doit être identifié et nous devons retrouver qui était le contact afin que cette personne, potentiellement infectée, puisse être suivie quotidiennement", a déclaré le professeur Rosling.
"Si nous continuons de faire ça, nous pouvons gagner en novembre ou décembre et peut-être en janvier. Si nous ne le faisons pas nous perdrons la bataille", a déclaré M. Rosling sur la radio de la MINUL.
En ce qui concerne les dégâts potentiels de ce virus, M. Rosling a commenté que "il faudra un ou deux mois ou plus pour cesser sa contamination entre humains, mais cela signifie que nous aurons très très peu de morts".
Toutefois, le professer suédois a mis en garde que le Liberia seul ne pourrait vaincre ce virus meurtrier sans une coopération des autres pays durement touchés.
Interrogé sur la marche à suivre pour l’avenir, il a déclaré que "nous devons perfectionner le traçage des contacts et tout le monde doit rester vigilant Nous devons placer les soupçons d’Ebola au premier rang de nos priorités au niveau des familles, des entreprises, partout, afin que les cas suspects soient rapidement dépistés".
Le professeur suédois a commenté qu’une solution de vaccination à long terme conte l’Ebola serait importante, mais que les Libériens devaient surtout rester vigilants et respecter les mesures préventives qu’ils connaissent déjà.
