Validation d’accord-cadre de concertation entre les producteurs et les populations riveraines relatif aux conflits fonciers sous la supervision du Ministère de l’Agriculture, du FER-PALMIER et de la FENACOPAH-CI.
Les conflits entre les producteurs et les populations riveraines viennent de connaître une étape décisive, à travers la mise en place et la validation d’accord-cadre de concertation.
En effet, dans le souci d’assurer des relations saines entre les populations riveraines et les exploitants agricoles de la culture du palmier à huile pour l’exploitation des parcelles agricoles, le Ministère de l’Agriculture, à travers le Fonds d’Extension et de Renouvellement pour le développement de la culture du palmier à huile (FER-PALMIER) et la Fédération Nationale des Coopératives et Unions de Coopératives de palmier à huile de Côte d’Ivoire (FENACOPAH-CI) représentés respectivement par Monsieur KOSSA René Inspecteur chargé des filières et des OPA, Monsieur Noël ASSOHOUN, Directeur Général, Monsieur KOGBO Douoba, Directeur Exécutif par intérim ont effectué des visites de travail du 29 septembre au 04 Octobre 2014 à NEKA, IBOKE et BLIDOUBA, dans le département de TABOU.
La délégation que conduisait Monsieur Noël ASSOHOUN, Directeur Général du FER-PALMIER a non seulement eu des échanges pour la validation des textes réglementaires qui doivent régir les différents cadres de concertation entre les Planteurs Villageois Modernes (PVM), les Petites et Moyennes Exploitations Agricoles (PMEA), les Départs Volontaires de l’ex-PALMINDUSTRIE (DV), les Assimilés et les populations riveraines de ces zones, mais a aussi procédé à la signature d’un protocole d’accord.
Monsieur Noël ASSOHOUN s’est félicité de cet accord qui contribuera à lever toute mésentente entre les planteurs et les riverains afin de procéder au renouvellement des plantations vieillissantes. Selon lui, cet accord témoigne de la volonté des deux parties de renforcer les liens permettant le développement durable de la filière palmier à huile.
Le porte-parole du collectif de ces planteurs, Monsieur BABACAUH Koffi Dongo ne dit pas autre chose que saluer l’esprit de conciliation qui a habité les populations riveraines pour la mise en place de cet accord-cadre de concertation. Il a loué les initiatives du FER-PALMIER qui a mené des démarches à divers niveaux pour la résolution de ce problème.
Il est bon de rappeler que les relations entre les planteurs et les populations autochtones ont pris du plomb dans l’aile au motif que les producteurs ne participaient pas au développement socio-économique de leur village d’accueil. C’est pourquoi, de nouvelles conditions d’exploitation des parcelles leur avaient été posées. Jugées draconiennes, les exploitants agricoles ont saisi le Ministère de l’Agriculture par l’entremise du FER-PALMIER, structure d’appui au développement du palmier à huile, afin de trouver des solutions idoines.
Après des missions de sensibilisation et d’information qui ont abouti à lever toute équivoque, les parties ont convenu de formaliser leurs relations par la mise en place de cadre de concertation. En plus du Sous-préfet qui en assure la présidence, le cadre de concertation est composé du représentant du Ministère de l’Agriculture (Directeur Départemental), du représentant du FER-PALMIER, du représentant de planteurs, du représentant de l’Unité Agricole-Intégrée (UAI), des représentants des coopératives et des représentants des populations riveraines.
Avec la mise en place de ce cadre de concertation, ce sont au moins quatre-cent douze (412) planteurs qui sont directement concernés par la résolution de ces conflits et des milliers de planteurs agricoles qui pourront indirectement en profiter.
Pour Monsieur HIANNON Barou Aimé, le chef de canton et représentant des populations riveraines, il reconnait que la mise en place de ce cadre de concertation va contribuer au développement de leur village par la réalisation des projets grâce à l’appui de ces planteurs. C’est pourquoi, il a promis sa disponibilité pour œuvrer au bien être de sa population.
C’est le lieu de souligner le rôle important joué par le FER-PALMIER, structure déconcentrée du Ministère de l’Agriculture auprès des planteurs villageois de culture du palmier à huile en informant la tutelle sur les conséquences des incompréhensions liées à l’exploitation des terres. Surtout quand on sait que la filière palmier à huile est un gros pourvoyeur d’emploi dans cette zone et une source de revenus pour les populations. Mieux, à travers la mise œuvre de cet accord, il s’agit de rendre formels les rapports entre les planteurs et les riverains.
La sécurisation foncière reste une préoccupation majeure pour le FER-PALMIER, la FENACOPAH-CI et au delà le Ministère de l’Agriculture.
Les conflits entre les producteurs et les populations riveraines viennent de connaître une étape décisive, à travers la mise en place et la validation d’accord-cadre de concertation.
En effet, dans le souci d’assurer des relations saines entre les populations riveraines et les exploitants agricoles de la culture du palmier à huile pour l’exploitation des parcelles agricoles, le Ministère de l’Agriculture, à travers le Fonds d’Extension et de Renouvellement pour le développement de la culture du palmier à huile (FER-PALMIER) et la Fédération Nationale des Coopératives et Unions de Coopératives de palmier à huile de Côte d’Ivoire (FENACOPAH-CI) représentés respectivement par Monsieur KOSSA René Inspecteur chargé des filières et des OPA, Monsieur Noël ASSOHOUN, Directeur Général, Monsieur KOGBO Douoba, Directeur Exécutif par intérim ont effectué des visites de travail du 29 septembre au 04 Octobre 2014 à NEKA, IBOKE et BLIDOUBA, dans le département de TABOU.
La délégation que conduisait Monsieur Noël ASSOHOUN, Directeur Général du FER-PALMIER a non seulement eu des échanges pour la validation des textes réglementaires qui doivent régir les différents cadres de concertation entre les Planteurs Villageois Modernes (PVM), les Petites et Moyennes Exploitations Agricoles (PMEA), les Départs Volontaires de l’ex-PALMINDUSTRIE (DV), les Assimilés et les populations riveraines de ces zones, mais a aussi procédé à la signature d’un protocole d’accord.
Monsieur Noël ASSOHOUN s’est félicité de cet accord qui contribuera à lever toute mésentente entre les planteurs et les riverains afin de procéder au renouvellement des plantations vieillissantes. Selon lui, cet accord témoigne de la volonté des deux parties de renforcer les liens permettant le développement durable de la filière palmier à huile.
Le porte-parole du collectif de ces planteurs, Monsieur BABACAUH Koffi Dongo ne dit pas autre chose que saluer l’esprit de conciliation qui a habité les populations riveraines pour la mise en place de cet accord-cadre de concertation. Il a loué les initiatives du FER-PALMIER qui a mené des démarches à divers niveaux pour la résolution de ce problème.
Il est bon de rappeler que les relations entre les planteurs et les populations autochtones ont pris du plomb dans l’aile au motif que les producteurs ne participaient pas au développement socio-économique de leur village d’accueil. C’est pourquoi, de nouvelles conditions d’exploitation des parcelles leur avaient été posées. Jugées draconiennes, les exploitants agricoles ont saisi le Ministère de l’Agriculture par l’entremise du FER-PALMIER, structure d’appui au développement du palmier à huile, afin de trouver des solutions idoines.
Après des missions de sensibilisation et d’information qui ont abouti à lever toute équivoque, les parties ont convenu de formaliser leurs relations par la mise en place de cadre de concertation. En plus du Sous-préfet qui en assure la présidence, le cadre de concertation est composé du représentant du Ministère de l’Agriculture (Directeur Départemental), du représentant du FER-PALMIER, du représentant de planteurs, du représentant de l’Unité Agricole-Intégrée (UAI), des représentants des coopératives et des représentants des populations riveraines.
Avec la mise en place de ce cadre de concertation, ce sont au moins quatre-cent douze (412) planteurs qui sont directement concernés par la résolution de ces conflits et des milliers de planteurs agricoles qui pourront indirectement en profiter.
Pour Monsieur HIANNON Barou Aimé, le chef de canton et représentant des populations riveraines, il reconnait que la mise en place de ce cadre de concertation va contribuer au développement de leur village par la réalisation des projets grâce à l’appui de ces planteurs. C’est pourquoi, il a promis sa disponibilité pour œuvrer au bien être de sa population.
C’est le lieu de souligner le rôle important joué par le FER-PALMIER, structure déconcentrée du Ministère de l’Agriculture auprès des planteurs villageois de culture du palmier à huile en informant la tutelle sur les conséquences des incompréhensions liées à l’exploitation des terres. Surtout quand on sait que la filière palmier à huile est un gros pourvoyeur d’emploi dans cette zone et une source de revenus pour les populations. Mieux, à travers la mise œuvre de cet accord, il s’agit de rendre formels les rapports entre les planteurs et les riverains.
La sécurisation foncière reste une préoccupation majeure pour le FER-PALMIER, la FENACOPAH-CI et au delà le Ministère de l’Agriculture.