Daloa - Une trentaine de pisciculteurs issus des régions du Haut-Sassandra et de la Marahoué (Centre-ouest) suivent depuis mardi, à Daloa, une formation autour du thème ‘’ Densité et alimentation du poisson en grossissement’’, pour améliorer la productivité de leurs exploitations et les rendre plus rentables et attrayantes.
La présente session qui est la première d’une série de 10 modules est exécutée par l’APDRACI (Association pisciculture et développement rural en Afrique tropicale humide, section Côte d’Ivoire).
Elle devrait, selon le coordonnateur du projet et formateur, Coulibaly Dramane, permettre d’encourager les paysans à promouvoir l’aquaculture, particulièrement la pisciculture, dans la mesure où les plans d’eau continentaux tels que Guessabo et Kossou sont de moins en moins productifs, parce que surexploités.
La formation qui s’achève vendredi, soit après quatre jours de formation théorique et pratique, s’inscrit dans la droite ligne du Projet d’appui à la pisciculture paysanne qui est une composante du Projet d’appui à la relance des filières agricoles conçu en 2012 par la Côte d’Ivoire et la France, dans le cadre du Contrat de désendettement et de développement (C2D).
A terme, l’APDRACI qui est mandatée par l’Etat de Côte d’Ivoire pour assurer la formation au niveau du projet dans les zones de Daloa, Gagnoa, Man, Abidjan, Yamoussoukro et Abengourou, devra former 1800 acteurs de l’aquaculture sur toute l’étendue du territoire national à partir de maintenant jusqu’à Mars 2016.
Ce qui va permettre de compenser progressivement le déficit en poisson qui est de l’ordre de 300.000 tonnes par an, occasionnant ainsi d’énormes sorties de devises.
(AIP)
yy/kkp/tm
La présente session qui est la première d’une série de 10 modules est exécutée par l’APDRACI (Association pisciculture et développement rural en Afrique tropicale humide, section Côte d’Ivoire).
Elle devrait, selon le coordonnateur du projet et formateur, Coulibaly Dramane, permettre d’encourager les paysans à promouvoir l’aquaculture, particulièrement la pisciculture, dans la mesure où les plans d’eau continentaux tels que Guessabo et Kossou sont de moins en moins productifs, parce que surexploités.
La formation qui s’achève vendredi, soit après quatre jours de formation théorique et pratique, s’inscrit dans la droite ligne du Projet d’appui à la pisciculture paysanne qui est une composante du Projet d’appui à la relance des filières agricoles conçu en 2012 par la Côte d’Ivoire et la France, dans le cadre du Contrat de désendettement et de développement (C2D).
A terme, l’APDRACI qui est mandatée par l’Etat de Côte d’Ivoire pour assurer la formation au niveau du projet dans les zones de Daloa, Gagnoa, Man, Abidjan, Yamoussoukro et Abengourou, devra former 1800 acteurs de l’aquaculture sur toute l’étendue du territoire national à partir de maintenant jusqu’à Mars 2016.
Ce qui va permettre de compenser progressivement le déficit en poisson qui est de l’ordre de 300.000 tonnes par an, occasionnant ainsi d’énormes sorties de devises.
(AIP)
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