Bouaflé - Les élèves du collège moderne de Bouaflé (Centre-ouest, région de la Marahoué) ont été sensibilisés, mercredi, à la lutte contre le travail des enfants, à l’occasion de la journée internationale des droits de l’enfant.
Cette action, initiée par la direction régionale de la Solidarité, de la Famille, de la Femme et de l’Enfant (SFFE) de la Marahoué vise à attirer l’attention sur la nécessité pour l’humanité de contribuer au bien-être des enfants.
Selon le directeur régional de la SFFE, N’Goran Alexis, cette journée, placée cette année sous le thème "Le travail des enfants, une atteinte aux droits de l’enfant", est l’occasion des autorités locales de relever les conséquences néfastes liées au travail dangereux exercé par un enfant.
Il s’agit notamment d’une déformation physique, des blessures liées à l’utilisation des objets tranchants, la contraction des maladies souvent incurables, un développement physique et moral compromis chez l’enfant.
M. N’Goran a exhorté les parents à respecter les droits des enfants dont celui à l’éducation.
"La place d’un enfant est à l’école et non au champ", a-t-il soutenu, expliquant que cela contribue au développement optimal de la personnalité de l’enfant.
La journée internationale des droits de l’enfant a été instituée le 20 novembre 1989 par la Convention internationale des droits de l'enfant (CIDE, aussi appelée "Convention relative aux droits de l'enfant"), un traité international adopté par l'ONU dans le but de reconnaître et protéger les droits spécifiques des enfants. C'est une déclinaison spécifique aux enfants des droits de l'homme tels que prévus par la déclaration universelle des droits de l'homme.
(AIP)
Zaar/kp
Cette action, initiée par la direction régionale de la Solidarité, de la Famille, de la Femme et de l’Enfant (SFFE) de la Marahoué vise à attirer l’attention sur la nécessité pour l’humanité de contribuer au bien-être des enfants.
Selon le directeur régional de la SFFE, N’Goran Alexis, cette journée, placée cette année sous le thème "Le travail des enfants, une atteinte aux droits de l’enfant", est l’occasion des autorités locales de relever les conséquences néfastes liées au travail dangereux exercé par un enfant.
Il s’agit notamment d’une déformation physique, des blessures liées à l’utilisation des objets tranchants, la contraction des maladies souvent incurables, un développement physique et moral compromis chez l’enfant.
M. N’Goran a exhorté les parents à respecter les droits des enfants dont celui à l’éducation.
"La place d’un enfant est à l’école et non au champ", a-t-il soutenu, expliquant que cela contribue au développement optimal de la personnalité de l’enfant.
La journée internationale des droits de l’enfant a été instituée le 20 novembre 1989 par la Convention internationale des droits de l'enfant (CIDE, aussi appelée "Convention relative aux droits de l'enfant"), un traité international adopté par l'ONU dans le but de reconnaître et protéger les droits spécifiques des enfants. C'est une déclinaison spécifique aux enfants des droits de l'homme tels que prévus par la déclaration universelle des droits de l'homme.
(AIP)
Zaar/kp