Le ministre de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique, Gnamien Konan a reçu à son cabinet, jeudi 13 août 2015, le bureau national de la Fédération Estudiantine et Scolaire de Côte d’Ivoire(FESCI), conduite par son secrétaire général national, Assi Assi Fulgence. Au centre de la rencontre, les conditions d’une trêve sociale durable dans les espaces universitaires, pour des études réussies.
A cette occasion, le secrétaire général de la Fesci a laissé entendre que son organisation s’inscrit résolument dans la logique d’une paix durable sur les campus. « Les déficits de communication ont occasionné quelques incompréhensions et la Fesci est prête à jouer la carte de l’apaisement », a-t-il fait remarquer. Pour joindre l’acte à la parole, le bureau national de la Fesci promet remettre dans les prochains jours au ministre un livre blanc qui présenterait l’essentiel des préoccupations des étudiants. « Nous tenons à remercier le ministre Gnamien Konan pour tous les efforts déployés pour la réforme de notre système d’enseignement supérieur et de recherche et l’assurer de notre disponibilité à l’accompagner pour la réussite de sa mission. Nous nous engageons à laisser derrière nous les clichés sombres de notre fédération et présenter une nouvelle image plus responsable et plus constructive », a-t-il conclu.
Pour sa part, le ministre Gnamien Konan a expliqué à ses hôtes(Fesci) son entendement de ladite trêve. « La trêve dont je parle devrait être une prise de conscience du fait qu’une perturbation des cours ne profite à personne et reste toujours préjudiciable aux étudiants ». Et d’ajouter : « Ce n’est ni l’absence de problèmes, mais plutôt une autre manière plus responsable de les aborder ». Le ministre s’est félicité de l’idée de créer un cadre d’échanges qui permettra de traiter toutes les difficultés qui entravent la bonne marche des universités et de résoudre les déficits de communication. « Faites-moi confiance, vous pouvez compter sur ma volonté et ma détermination », a-t-il renchérit.
Les étudiants sont repartis visiblement heureux et satisfaits des retombées de cette rencontre « historique » et pour le moins attendue et qui ouvre une voie de dialogue avec la tutelle afin de mieux aborder les problèmes qui minent le secteur depuis plusieurs décennies.
A cette occasion, le secrétaire général de la Fesci a laissé entendre que son organisation s’inscrit résolument dans la logique d’une paix durable sur les campus. « Les déficits de communication ont occasionné quelques incompréhensions et la Fesci est prête à jouer la carte de l’apaisement », a-t-il fait remarquer. Pour joindre l’acte à la parole, le bureau national de la Fesci promet remettre dans les prochains jours au ministre un livre blanc qui présenterait l’essentiel des préoccupations des étudiants. « Nous tenons à remercier le ministre Gnamien Konan pour tous les efforts déployés pour la réforme de notre système d’enseignement supérieur et de recherche et l’assurer de notre disponibilité à l’accompagner pour la réussite de sa mission. Nous nous engageons à laisser derrière nous les clichés sombres de notre fédération et présenter une nouvelle image plus responsable et plus constructive », a-t-il conclu.
Pour sa part, le ministre Gnamien Konan a expliqué à ses hôtes(Fesci) son entendement de ladite trêve. « La trêve dont je parle devrait être une prise de conscience du fait qu’une perturbation des cours ne profite à personne et reste toujours préjudiciable aux étudiants ». Et d’ajouter : « Ce n’est ni l’absence de problèmes, mais plutôt une autre manière plus responsable de les aborder ». Le ministre s’est félicité de l’idée de créer un cadre d’échanges qui permettra de traiter toutes les difficultés qui entravent la bonne marche des universités et de résoudre les déficits de communication. « Faites-moi confiance, vous pouvez compter sur ma volonté et ma détermination », a-t-il renchérit.
Les étudiants sont repartis visiblement heureux et satisfaits des retombées de cette rencontre « historique » et pour le moins attendue et qui ouvre une voie de dialogue avec la tutelle afin de mieux aborder les problèmes qui minent le secteur depuis plusieurs décennies.