Yamoussoukro - L’ensemble des établissements du primaire et du secondaire de Yamoussoukro ont rendu vendredi un hommage à l’écrivain ivoirien Ahmadou Kourouma, décédé le 11 décembre 2003 à Lyon, en France.
Les restes du célèbre écrivain, mort et enterré en France, ont été rapatriés le 12 novembre en Côte d’Ivoire où il repose à l’éternité.
La cérémonie d’hommage à Ahmadou Kourouma, initiée par le ministère de l’Éducation nationale et de l’enseignement technique, a consisté à des expositions de photos et d’extraits d’œuvres de l’illustre disparu, des présentations de sketchs tirés de ses œuvres, rythmées par la lecture d’extraits d’ouvrages de l’auteur, à l’auditorium du lycée Mamie Adjoua.
Pour la direction du lycée Mamie Adjoua, l’objectif de rendre un hommage mérité à Ahmadou Kourouma a été atteint.
"C’est un écrivain dont les œuvres sont étudiées dans nos établissements secondaires et il fallait que les élèves le connaissent mieux", a déclaré le proviseur, Sako Sita Nomvia, qui a invité les élèves à "s’abreuver à la source intarissable du savoir de cet écrivain qui a fait honneur à la Côte d’Ivoire".
L’auteur des romans, "Les soleils des indépendances" et "Monnè, outrages et défis" est l’un des écrivains les plus renommés du continent africain.
Lauréat du prix du Livre Inter, en 1999, avec son oeuvre "En attendant le vote des bêtes sauvages" et du prix Renaudot 2000 pour "Allah n’est pas obligé", Ahmadou Kourouma a bâti sa notoriété avec le roman écrit en 1970, "Les Soleils des indépendances". L’auteur a également reçu le Grand Prix Jean Giono pour l’ensemble de ses œuvres en 2000
Plusieurs cérémonies ont été dédiées à Ahmadou Kourouma depuis l’arrivée de ses restes en Côte d’Ivoire, notamment l’hommage littéraire et scientifique de l’ASCAD, de l’Institut national supérieur des arts et de l’action culturelle (INSAAC), les baptêmes d’une salle à l’Ecole normale supérieure (ENS) et d’une rue à Cocody.
Né le 24 novembre 1927 à Boundiali, Ahmadou Kourouma a été inhumé le 14 novembre au cimetière municipal de Williamsville, à Abidjan.
(AIP)
nam/kp
Les restes du célèbre écrivain, mort et enterré en France, ont été rapatriés le 12 novembre en Côte d’Ivoire où il repose à l’éternité.
La cérémonie d’hommage à Ahmadou Kourouma, initiée par le ministère de l’Éducation nationale et de l’enseignement technique, a consisté à des expositions de photos et d’extraits d’œuvres de l’illustre disparu, des présentations de sketchs tirés de ses œuvres, rythmées par la lecture d’extraits d’ouvrages de l’auteur, à l’auditorium du lycée Mamie Adjoua.
Pour la direction du lycée Mamie Adjoua, l’objectif de rendre un hommage mérité à Ahmadou Kourouma a été atteint.
"C’est un écrivain dont les œuvres sont étudiées dans nos établissements secondaires et il fallait que les élèves le connaissent mieux", a déclaré le proviseur, Sako Sita Nomvia, qui a invité les élèves à "s’abreuver à la source intarissable du savoir de cet écrivain qui a fait honneur à la Côte d’Ivoire".
L’auteur des romans, "Les soleils des indépendances" et "Monnè, outrages et défis" est l’un des écrivains les plus renommés du continent africain.
Lauréat du prix du Livre Inter, en 1999, avec son oeuvre "En attendant le vote des bêtes sauvages" et du prix Renaudot 2000 pour "Allah n’est pas obligé", Ahmadou Kourouma a bâti sa notoriété avec le roman écrit en 1970, "Les Soleils des indépendances". L’auteur a également reçu le Grand Prix Jean Giono pour l’ensemble de ses œuvres en 2000
Plusieurs cérémonies ont été dédiées à Ahmadou Kourouma depuis l’arrivée de ses restes en Côte d’Ivoire, notamment l’hommage littéraire et scientifique de l’ASCAD, de l’Institut national supérieur des arts et de l’action culturelle (INSAAC), les baptêmes d’une salle à l’Ecole normale supérieure (ENS) et d’une rue à Cocody.
Né le 24 novembre 1927 à Boundiali, Ahmadou Kourouma a été inhumé le 14 novembre au cimetière municipal de Williamsville, à Abidjan.
(AIP)
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