Abidjan - L’Association de soutien à l’autopromotion sanitaire urbaine (ASAPSU), a célébré mercredi à Abidjan, ses 25 ans d’actions communautaires.
La présidente du conseil d’administration, Mme Madi Annick, a fait savoir que l’ASAPSU est une structure qui a été crée en juillet 1989 dans le but d’améliorer les conditions socio-sanitaires des populations vulnérables et défavorisées des milieux urbains et périurbains afin que par l’auto promotion, elles parviennent à un développement intégral.
Cela, à travers quatre axes d’interventions que sont la santé, l’éducation, les actions humanitaires, les droits humains et le développement institutionnel et le renforcement des capacité des organisations de la société civile sur les questions du foncier rural.
L’ASAPSU, en plus d’un siège et de cinq centres de santé à base communautaire à Abidjan, est implantée à l’intérieur du pays à travers 12 bureaux. Elle bénéficie du financement de l’union européenne, de la NOVIB Hollande et du Comité Catholique contre la faim et pour le Développement.
Cette structure, a-t-elle noté, connait cependant des difficultés à savoir l’indisponibilité des membres fondateurs, le foisonnement des centres et infirmeries privées autour des centres de santé, l’indisponibilité des fonds pour la prise en charge des activités préventives et promotionnelles et l’insuffisance de ressources propres pour plus d’autonomie.
(AIP)
sdaf/kam
La présidente du conseil d’administration, Mme Madi Annick, a fait savoir que l’ASAPSU est une structure qui a été crée en juillet 1989 dans le but d’améliorer les conditions socio-sanitaires des populations vulnérables et défavorisées des milieux urbains et périurbains afin que par l’auto promotion, elles parviennent à un développement intégral.
Cela, à travers quatre axes d’interventions que sont la santé, l’éducation, les actions humanitaires, les droits humains et le développement institutionnel et le renforcement des capacité des organisations de la société civile sur les questions du foncier rural.
L’ASAPSU, en plus d’un siège et de cinq centres de santé à base communautaire à Abidjan, est implantée à l’intérieur du pays à travers 12 bureaux. Elle bénéficie du financement de l’union européenne, de la NOVIB Hollande et du Comité Catholique contre la faim et pour le Développement.
Cette structure, a-t-elle noté, connait cependant des difficultés à savoir l’indisponibilité des membres fondateurs, le foisonnement des centres et infirmeries privées autour des centres de santé, l’indisponibilité des fonds pour la prise en charge des activités préventives et promotionnelles et l’insuffisance de ressources propres pour plus d’autonomie.
(AIP)
sdaf/kam
