Divo – Des détonations assourdissantes et des bruits semblables aux coups de pistolets sont de retour depuis quelques jours dans la ville de Divo en cette veille de fêtes de fin d’année, a constaté l’AIP.
"Un soir en rentrant du travail, j’ai entendu des bruits effrayants. J’ai couru de toutes mes forces pour emprunter le premier taxi qui m’a conduit chez moi au quartier Dialogue. C’est chemin faisant que le chauffeur m’a informé qu’il s’agit de pétards", a témoigné un habitant de la ville, Traoré Issouf.
Ces bruits sont entendus généralement aux environs de 19 heures à la nuit tombante semant doute et peur au sein de la population.
Il s’agit d’individus en possession de feux d’artifices et de pétards qui font la promotion de leurs produits pourtant interdits sur l’étendue du territoire national.
Les populations craignent que ces comportements fassent diversion avec de vraies attaques de bandits récurrentes dans la cité.
Dans les rues les tout-petits s’amusent déjà à se faire la guerre avec de mini-pistolets. Ces jeux ont surpris plus d’un dimanche dans le village de Gogné, sous-préfecture de Lakota, où se tenait un meeting du président du conseil régional, Rolland Zakpa Komenan.
"Avec ces jouets, on peut facilement mener une attaque la nuit et dépouiller d’honnêtes citoyens de leurs biens, s’est inquiété un villageois.
Les autorités préfectorales et policières ont pris récemment des mesures pour réguler les décibels des maquis et autres débits de boissons. Dans cette veine elles pourraient sévir contre les commerçants et utilisateurs de pétards, indique-t-on.
(AIP)
gso/ask
"Un soir en rentrant du travail, j’ai entendu des bruits effrayants. J’ai couru de toutes mes forces pour emprunter le premier taxi qui m’a conduit chez moi au quartier Dialogue. C’est chemin faisant que le chauffeur m’a informé qu’il s’agit de pétards", a témoigné un habitant de la ville, Traoré Issouf.
Ces bruits sont entendus généralement aux environs de 19 heures à la nuit tombante semant doute et peur au sein de la population.
Il s’agit d’individus en possession de feux d’artifices et de pétards qui font la promotion de leurs produits pourtant interdits sur l’étendue du territoire national.
Les populations craignent que ces comportements fassent diversion avec de vraies attaques de bandits récurrentes dans la cité.
Dans les rues les tout-petits s’amusent déjà à se faire la guerre avec de mini-pistolets. Ces jeux ont surpris plus d’un dimanche dans le village de Gogné, sous-préfecture de Lakota, où se tenait un meeting du président du conseil régional, Rolland Zakpa Komenan.
"Avec ces jouets, on peut facilement mener une attaque la nuit et dépouiller d’honnêtes citoyens de leurs biens, s’est inquiété un villageois.
Les autorités préfectorales et policières ont pris récemment des mesures pour réguler les décibels des maquis et autres débits de boissons. Dans cette veine elles pourraient sévir contre les commerçants et utilisateurs de pétards, indique-t-on.
(AIP)
gso/ask