L'administration financière ivoirienne est menacée de blocage en raison d'une grève projetée par la Coordination des syndicats du ministère de l'Economie et des Finances (COSYMEFCI), a-t-on appris mardi auprès des syndicalistes.
La grève devrait toucher tous les services publics relevant du ministère de l'Economie, des Finances et du Budget, durant trois jours, du 3 au 5 décembre.
"Il s'agit d'une grève qui sera menée sur tout le territoire, mais en assurant le service minimum", ont indiqué les agents mécontents.
II y a deux mois, les syndicats regroupés au sein de la COSYMEFCI avaient lancé une grève de 72 heures pour exiger une " amélioration" de leurs conditions de vie et de travail. Le Premier ministre Daniel Kablan Duncan avait rencontré les grévistes et les deux parties avaient convenu de suspendre la grève.
Une autre rencontre était prévue avec le chef du gouvernement, mais selon les syndicalistes cette rencontre a été "un échec".
La coordination, composée de 16 syndicats, revendique 11.000 agents répartis dans les structures des ministères de l'Economie des Finances et du Budget.
Elle exige l'application intégrale et immédiate de sa plate- forme revendicative dont le paiement des primes de ses membres.
Plusieurs usagers des services de l'administration financière ont exprimé leur inquiétude face à cette menace de blocage et souhaitent un terrain d'entente entre syndicalistes et autorités.
La grève devrait toucher tous les services publics relevant du ministère de l'Economie, des Finances et du Budget, durant trois jours, du 3 au 5 décembre.
"Il s'agit d'une grève qui sera menée sur tout le territoire, mais en assurant le service minimum", ont indiqué les agents mécontents.
II y a deux mois, les syndicats regroupés au sein de la COSYMEFCI avaient lancé une grève de 72 heures pour exiger une " amélioration" de leurs conditions de vie et de travail. Le Premier ministre Daniel Kablan Duncan avait rencontré les grévistes et les deux parties avaient convenu de suspendre la grève.
Une autre rencontre était prévue avec le chef du gouvernement, mais selon les syndicalistes cette rencontre a été "un échec".
La coordination, composée de 16 syndicats, revendique 11.000 agents répartis dans les structures des ministères de l'Economie des Finances et du Budget.
Elle exige l'application intégrale et immédiate de sa plate- forme revendicative dont le paiement des primes de ses membres.
Plusieurs usagers des services de l'administration financière ont exprimé leur inquiétude face à cette menace de blocage et souhaitent un terrain d'entente entre syndicalistes et autorités.