Bongouanou – Une course poursuite entre les policiers et les élèves a eu lieu jeudi à Bongouanou où des élèves, mettant à exécution le mot d’ordre de grève des enseignants du secondaire privé, ont tenté de déloger leurs camarades du lycée moderne.
Au troisième jour de la grève lancée par le syndicat national des enseignants du privé laïc de Côte d’Ivoire (SYNEPLACI), la tension est montée d’un cran lorsque des élèves des établissements secondaires privés de la ville ont dressé un cordon de sécurité autour du lycée moderne, pour obliger les apprenants de cet établissement public à rentrer chez eux en jetant des projectiles pour se faire entendre.
A l’aide de gaz lacrymogène, les agents de police ont essayé d’empêcher tout regroupement autour du lycée moderne de Bongouanou, provoquant une interruption momentanée de la circulation sur la seconde voie de la ville passant devant l’établissement secondaire public.
Le SYNEPLACI a déclenché, depuis mardi, une grève afin d’obtenir une revalorisation des conditions de vie et de travail de ses membres, conformément aux termes de la Convention collective signée en 1994 et dont l’application ne fait pas l’unanimité au sein de la Fédération des fondateurs des écoles privées laïques (FENEPLACI), rappelle-t-on.
Hk/kp
Au troisième jour de la grève lancée par le syndicat national des enseignants du privé laïc de Côte d’Ivoire (SYNEPLACI), la tension est montée d’un cran lorsque des élèves des établissements secondaires privés de la ville ont dressé un cordon de sécurité autour du lycée moderne, pour obliger les apprenants de cet établissement public à rentrer chez eux en jetant des projectiles pour se faire entendre.
A l’aide de gaz lacrymogène, les agents de police ont essayé d’empêcher tout regroupement autour du lycée moderne de Bongouanou, provoquant une interruption momentanée de la circulation sur la seconde voie de la ville passant devant l’établissement secondaire public.
Le SYNEPLACI a déclenché, depuis mardi, une grève afin d’obtenir une revalorisation des conditions de vie et de travail de ses membres, conformément aux termes de la Convention collective signée en 1994 et dont l’application ne fait pas l’unanimité au sein de la Fédération des fondateurs des écoles privées laïques (FENEPLACI), rappelle-t-on.
Hk/kp