Daoukro, (AIP) – L’Organisation des Nations Unies pour l’enfance (UNICEF), en collaboration avec OIS-Afrique, a offert un important lot de timbres aux services d'état-civil de la marie et de la sous- préfecture de Daoukro.
L’objectif de cette offre est de protéger les enfants en permettant aux parents de faciliter l’établissement de leurs extraits de naissance.
Pour Konan Norbert, Chargé du projet à l’ONG OIS-Afrique, le premier droit de l’enfant est d’avoir un nom.
"Mais le constat que nous faisons, est que la plupart des enfants n’ont pas d’extraits, donc ne sont pas reconnus par l’état-civil", a-t-il déploré, ajoutant que, pour résoudre cette question, l’UNICEF a décidé d’offrir quelque 5.000 timbres, dont 257 ont été remis mercredi à la mairie et à la sous-préfecture de Daoukro, dans le cadre du premier trimestre de cette campagne.
Au nom du maire, M. Konan Evariste, 4ème adjoint au maire, et Mme Soma A. Marthe, agent à la sous-préfecture de Daoukro, représentant le sous-préfet, ont réceptionné cet important lot de timbres et ont affirmé en faire bon usage.
Par manque d’extraits de naissance, plusieurs personnes en Côte d’Ivoire sont susceptibles d’être confrontés à des défis majeurs comme l’accès aux soins de santé, à l’éducation et à l’aide sociale.
(AIP)
Ca/kp
L’objectif de cette offre est de protéger les enfants en permettant aux parents de faciliter l’établissement de leurs extraits de naissance.
Pour Konan Norbert, Chargé du projet à l’ONG OIS-Afrique, le premier droit de l’enfant est d’avoir un nom.
"Mais le constat que nous faisons, est que la plupart des enfants n’ont pas d’extraits, donc ne sont pas reconnus par l’état-civil", a-t-il déploré, ajoutant que, pour résoudre cette question, l’UNICEF a décidé d’offrir quelque 5.000 timbres, dont 257 ont été remis mercredi à la mairie et à la sous-préfecture de Daoukro, dans le cadre du premier trimestre de cette campagne.
Au nom du maire, M. Konan Evariste, 4ème adjoint au maire, et Mme Soma A. Marthe, agent à la sous-préfecture de Daoukro, représentant le sous-préfet, ont réceptionné cet important lot de timbres et ont affirmé en faire bon usage.
Par manque d’extraits de naissance, plusieurs personnes en Côte d’Ivoire sont susceptibles d’être confrontés à des défis majeurs comme l’accès aux soins de santé, à l’éducation et à l’aide sociale.
(AIP)
Ca/kp