Les épouses des prisonniers « politiques » grévistes qui ont été interpellées mercredi et détenues à la préfecture de police ont été libérées.
Selon une proche des épouses en question, c’est aux environs de 21 h 30 et après plusieurs négociations avec les autorités, qu’elles ont recouvré la liberté. Cependant, elles comptent poursuivre leurs actions jusqu’à obtenir le jugement ou la libération de leurs époux.
Une dizaine d’épouses des prisonniers qui ont entamé une grève illimitée de la faim depuis lundi, ont manifesté mercredi devant les locaux du ministère de la justice, avant d’être interpellées par les forces de l’ordre et détenues à la préfecture de police.
481 prisonniers « politiques » proches de l’ancien chef d’Etat Laurent Gbagbo, croupissent dans 11 prisons du pays, sans aucun jugement, trois ans après leurs arrestations, pour leurs présumées responsabilités dans la crise post-électorale de 2011.
Selon une proche des épouses en question, c’est aux environs de 21 h 30 et après plusieurs négociations avec les autorités, qu’elles ont recouvré la liberté. Cependant, elles comptent poursuivre leurs actions jusqu’à obtenir le jugement ou la libération de leurs époux.
Une dizaine d’épouses des prisonniers qui ont entamé une grève illimitée de la faim depuis lundi, ont manifesté mercredi devant les locaux du ministère de la justice, avant d’être interpellées par les forces de l’ordre et détenues à la préfecture de police.
481 prisonniers « politiques » proches de l’ancien chef d’Etat Laurent Gbagbo, croupissent dans 11 prisons du pays, sans aucun jugement, trois ans après leurs arrestations, pour leurs présumées responsabilités dans la crise post-électorale de 2011.