Les principales artères de la commune de Yopougon (Ouest d’Abidjan)ont été prises d’assaut par les partisans de l’ex-président Laurent Gbagbo, vendredi, suite à une rumeur annonçant sa mise en liberté provisoire en compagnie de Blé Goudé, tous deux en jugement à la Cour pénale internationale (CPI).
En milieu de journée, les réseaux sociaux annonçaient la mise en liberté «provisoire» de l’ancien chef de l’État ivoirien et de son co-détenu à la CPI.
Les partisans de Laurent Gbagbo envahissent les rues de Yopougon, commune réputée favorable à l’ex-président pour manifester «leur joie» tant la rumeur de la libération provisoire de leur champion enflait.
C’est d’abord l’avocat principal de Simone Gbagbo, Me Dadjé Rodrigue qui donne l’information sur sa page facebook. «Enfin Gbagbo libre», écrit-il avant de se raviser plus tard pour retirer le post et le remplacer par un autre.
«Gbagbo libre ! L’info de sa libération n’est pas confirmée par la CPI. La CPI n’a rendu à ce jour aucune décision. Prière de ne pas véhiculer de fausses informations», corrige l’avocat.
Plusieurs internautes donnent la «même information» qui semble être un Fake news, ajoutant même que «l’audience d’acquittement définitif est reportée au mois de mars 2019».
Il n’en fallait pas plus pour voir des foules compactes prendre d’assaut les rues et les maquis de la plus grande commune du pays scandant «quittez, Gbagbo arrive...» pour manifester leur joie.
Cette hystérie des partisans de M. Gbagbo a créée d’interminables bouchons sur les voies de Yopougon avec un concert de klaxons d’automobilstes. Même la fine pluie qui s’est abattue sur la cité n’a pas freiné leur détermination à savourer leur «victoire».
HS/ls/APA
En milieu de journée, les réseaux sociaux annonçaient la mise en liberté «provisoire» de l’ancien chef de l’État ivoirien et de son co-détenu à la CPI.
Les partisans de Laurent Gbagbo envahissent les rues de Yopougon, commune réputée favorable à l’ex-président pour manifester «leur joie» tant la rumeur de la libération provisoire de leur champion enflait.
C’est d’abord l’avocat principal de Simone Gbagbo, Me Dadjé Rodrigue qui donne l’information sur sa page facebook. «Enfin Gbagbo libre», écrit-il avant de se raviser plus tard pour retirer le post et le remplacer par un autre.
«Gbagbo libre ! L’info de sa libération n’est pas confirmée par la CPI. La CPI n’a rendu à ce jour aucune décision. Prière de ne pas véhiculer de fausses informations», corrige l’avocat.
Plusieurs internautes donnent la «même information» qui semble être un Fake news, ajoutant même que «l’audience d’acquittement définitif est reportée au mois de mars 2019».
Il n’en fallait pas plus pour voir des foules compactes prendre d’assaut les rues et les maquis de la plus grande commune du pays scandant «quittez, Gbagbo arrive...» pour manifester leur joie.
Cette hystérie des partisans de M. Gbagbo a créée d’interminables bouchons sur les voies de Yopougon avec un concert de klaxons d’automobilstes. Même la fine pluie qui s’est abattue sur la cité n’a pas freiné leur détermination à savourer leur «victoire».
HS/ls/APA