Soubré - A un mois de la fin de son projet de partenariat avec le chocolatier Mars et le Bureau international du travail (BIT) dans le cadre de la lutte contre les pires formes de travail des enfants dans 15 communautés productrice de cacao à Soubré, le directeur projet de l’ONG Ivoire services, Dr Koh Hilaire exhorte les partenaires à promouvoir les activités génératrices de revenus (AGR).
Lors d’une réunion bilan tenue au siège de l’ONG à Méagui, samedi, Dr Koh a indiqué que de nombreuses actions sont menées quotidiennement en vue de mettre fin aux pires formes de travail des enfants, et le message est de plus en plus porté par les communautés productrices de cacao.
Mais pour une pérennisation des acquis, les projets doivent être soutenus par des activités génératrices de revenus, a-t-il déclaré.
« Il faut soutenir les actions de sensibilisation par des actions pérennes qui permettent aux populations de lutter contre la pauvreté, l’état de manque à gagner pour éviter la tentation à utiliser les enfants dans les plantations », a-t-il souligné.
A l’entendre, pour bon nombre de producteurs, la difficulté ne réside pas dans le retrait des enfants des plantations, mais plutôt dans la scolarisation et la capacité à pallier à leur absence dans les plantations.
« Les producteurs justifient la présence des enfants dans les plantations par les difficultés à les scolariser, mais aussi et surtout à recruter des manœuvres, faute de moyens. Néanmoins, le message passe et de plus en plus d’enfants sont retirés des plantations », a-t-il assuré.
Dr Koh a surtout salué le partenariat avec le BIT/ PPP Mars qui permet de lutter efficacement contre le travail des enfants dans la cacaoculture.
L’ONG Ivoire services pilote le projet de lutte contre les pires formes de travail des enfants dans 15 communautés productrices de cacao dans la région de la Nawa, en partenariat avec le BIT/PPP Mars depuis août dernier, souligne-t-on.
(AIP)
km/cmas
Lors d’une réunion bilan tenue au siège de l’ONG à Méagui, samedi, Dr Koh a indiqué que de nombreuses actions sont menées quotidiennement en vue de mettre fin aux pires formes de travail des enfants, et le message est de plus en plus porté par les communautés productrices de cacao.
Mais pour une pérennisation des acquis, les projets doivent être soutenus par des activités génératrices de revenus, a-t-il déclaré.
« Il faut soutenir les actions de sensibilisation par des actions pérennes qui permettent aux populations de lutter contre la pauvreté, l’état de manque à gagner pour éviter la tentation à utiliser les enfants dans les plantations », a-t-il souligné.
A l’entendre, pour bon nombre de producteurs, la difficulté ne réside pas dans le retrait des enfants des plantations, mais plutôt dans la scolarisation et la capacité à pallier à leur absence dans les plantations.
« Les producteurs justifient la présence des enfants dans les plantations par les difficultés à les scolariser, mais aussi et surtout à recruter des manœuvres, faute de moyens. Néanmoins, le message passe et de plus en plus d’enfants sont retirés des plantations », a-t-il assuré.
Dr Koh a surtout salué le partenariat avec le BIT/ PPP Mars qui permet de lutter efficacement contre le travail des enfants dans la cacaoculture.
L’ONG Ivoire services pilote le projet de lutte contre les pires formes de travail des enfants dans 15 communautés productrices de cacao dans la région de la Nawa, en partenariat avec le BIT/PPP Mars depuis août dernier, souligne-t-on.
(AIP)
km/cmas