Le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Gnamien Konan, a appelé lundi dernier à l’université d’Abobo-Adjamé, les étudiants et les enseignants à l’apaisement. Lui, qui ne voulait pas entendre parler de syndicalisme à son arrivée à la tête de ce département. C’est par rapport aux revendications exprimées depuis un bon moment. Et surtout aux menaces de grève des syndicats estudiantins et de boycott des inscriptions dans les universités publiques. C’était à l’occasion de la cérémonie de rentrée solennelle des universités publiques et de remise de prix d’excellence. « Ce que nous recherchons dans nos universités et grandes écoles, c’est l’apaisement de l’environnement. Il faut que chacun puisse donner le meilleur de lui-même pour favoriser un climat propice à la formation et aux études ». Réagissant au mécontentement des étudiants après l’annonce de ses reformes sur l’introduction de l’anglais et de l’informatique en première année dans les universités et grandes écoles, il a expliqué que cette reforme est en train d’être étudiée avant son entrée en vigueur.
Olivier IRIE
(Stagiaire)
Olivier IRIE
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