Bouaké - Les dirigeants de l’université Alassane Ouattara de Bouaké ont initié un séminaire d’auto-évaluation de la mise en œuvre du système LMD (Licence, master doctorat), après deux années d’implémentation de cette réforme au sein de l’institution, en vue d’apprécier ses acquis, identifier ses difficultés et améliorer les pratiques.
Le président de l’institution, le professeur Poamé Lazare, qui inscrit cette initiative dans «une démarche qualité», a salué, pour le chemin déjà parcouru, les efforts du personnel et des étudiants qui ont travaillé pour la mise en œuvre du système.
Pour lui, au-delà des efforts qui restent à faire, la première satisfaction que l’on peut tirer de cette réforme est relative aux maquettes pédagogiques. «Nos maquettes ont reçu un toilettage qui rend nos formations beaucoup plus compétitives qu’elles ne l’étaient par le passé», s’est-t-il réjoui, lors d'un séminaire d'évaluation, vendredi et samedi, attendant la tenue des promesses du ministère de tutelle pour l’amélioration des acquis.
L’outil informatique est relativement présent à l’université Alassane Ouattara. L’espace universitaire n’est pas encore doté du système WIFI pour faciliter la connexion internet de l’on considère comme ‘’la clé de voute’’ du système LMD.
«Après ces deux années, faire un bilan pour évaluer le chemin parcouru et envisager les perspectives heureuses ne peut que nous faire avancer dans le bon sens», a indiqué directeur de cabinet représentant le ministre de l’enseignement supérieur, Pr. Yao N’Guessa.
Il a salué l’initiative du président de l’université et félicité son équipe pour leurs efforts ayant pour objectif d’inscrire cette université dans la vision du président de la République. Puis, il a annoncé que beaucoup de choses sont en train d’être faites pour corriger les défaillances.
Les thématiques telles que «Enseigner et évaluer autrement», «Concevoir autrement le partenariat pour la recherche et la formation», «Organiser autrement les soutenances de mémoires et de thèses» et «Recruter autrement les enseignants chercheurs», ont été développées au cours de se séminaire.
A l’instar des universités publiques ivoiriennes, l’université Alassane Ouattara a basculé intégralement dans le système LMD depuis l’année universitaire 2012-2013.
Cette réforme vise à harmoniser les diplômes à l’échelle internationale et donner une meilleure visibilité et lisibilité des parcours des étudiants, avec l’ambition de créer une adéquation entre les demandes sociales et exigences académiques.
(AIP)
nbf/ask
Le président de l’institution, le professeur Poamé Lazare, qui inscrit cette initiative dans «une démarche qualité», a salué, pour le chemin déjà parcouru, les efforts du personnel et des étudiants qui ont travaillé pour la mise en œuvre du système.
Pour lui, au-delà des efforts qui restent à faire, la première satisfaction que l’on peut tirer de cette réforme est relative aux maquettes pédagogiques. «Nos maquettes ont reçu un toilettage qui rend nos formations beaucoup plus compétitives qu’elles ne l’étaient par le passé», s’est-t-il réjoui, lors d'un séminaire d'évaluation, vendredi et samedi, attendant la tenue des promesses du ministère de tutelle pour l’amélioration des acquis.
L’outil informatique est relativement présent à l’université Alassane Ouattara. L’espace universitaire n’est pas encore doté du système WIFI pour faciliter la connexion internet de l’on considère comme ‘’la clé de voute’’ du système LMD.
«Après ces deux années, faire un bilan pour évaluer le chemin parcouru et envisager les perspectives heureuses ne peut que nous faire avancer dans le bon sens», a indiqué directeur de cabinet représentant le ministre de l’enseignement supérieur, Pr. Yao N’Guessa.
Il a salué l’initiative du président de l’université et félicité son équipe pour leurs efforts ayant pour objectif d’inscrire cette université dans la vision du président de la République. Puis, il a annoncé que beaucoup de choses sont en train d’être faites pour corriger les défaillances.
Les thématiques telles que «Enseigner et évaluer autrement», «Concevoir autrement le partenariat pour la recherche et la formation», «Organiser autrement les soutenances de mémoires et de thèses» et «Recruter autrement les enseignants chercheurs», ont été développées au cours de se séminaire.
A l’instar des universités publiques ivoiriennes, l’université Alassane Ouattara a basculé intégralement dans le système LMD depuis l’année universitaire 2012-2013.
Cette réforme vise à harmoniser les diplômes à l’échelle internationale et donner une meilleure visibilité et lisibilité des parcours des étudiants, avec l’ambition de créer une adéquation entre les demandes sociales et exigences académiques.
(AIP)
nbf/ask