Dimbokro – La direction régionale de la Culture et de la Francophonie organise des journées d’hommage aux martyrs dans le processus d’accession du pays à l’indépendance.
Une opportunité de la directrice régionale, Mme Guéi Zranssaha Euphrasie, de souligner, samedi, que Dimbokro a été un symbole dans ce processus.
"Dimbokro est un symbole dans l’histoire de la marche de la Côte d’Ivoire vers son accession à la souveraineté nationale. Et cela, feu le Président Félix Houphouët-Boigny l’a mentionné dans son adresse à la nation, lors de la commémoration du quinzième anniversaire de notre indépendance ici même à Dimbokro, le 7 décembre 1975", a rappelé l’initiatrice des ces journées d’hommage aux martyrs de Dimbokro.
Selon Mme Guéi, "dans les luttes passées, nécessaires et glorieuses d’une collectivité qui se cherchait alors des raisons d’espérer et de croire en elle-même, Dimbokro avait su déjà être présente et ne point faillir à ces premiers rendez-vous de la dignité et de la liberté d’un peuple".
la directrice régionale de la Culture du N’Zi a alors évoqué que "l’histoire de la Côte d’Ivoire ne saurait s’écrire sans faire mention de Dimbokro, de rendre vivace le souvenir de ces personnes disparues et de susciter notre prise de conscience dans la marche vers la liberté et le développement".
La directrice régionale de la Culture et de la Francophonie a salué "l’option préférentielle" de la tutelle à rapprocher les populations, par l’art et la culture, afin que les ivoiriens se réconcilient avec les valeurs humaines, la paix et la communion de tous.
Les personnalités administratives, politiques, religieuses et coutumières locales présentes aux journées d’hommage ont encouragé et félicité Mme Guéi, lui demandant, d’ailleurs, d’œuvrer à faire des journées d’hommages aux martyrs de Dimbokro une institution au même titre que les carnavals de Bouaké, Bonoua et l’Abissa de Grand-Bassam.
(AIP)
Zgrp/kp
Une opportunité de la directrice régionale, Mme Guéi Zranssaha Euphrasie, de souligner, samedi, que Dimbokro a été un symbole dans ce processus.
"Dimbokro est un symbole dans l’histoire de la marche de la Côte d’Ivoire vers son accession à la souveraineté nationale. Et cela, feu le Président Félix Houphouët-Boigny l’a mentionné dans son adresse à la nation, lors de la commémoration du quinzième anniversaire de notre indépendance ici même à Dimbokro, le 7 décembre 1975", a rappelé l’initiatrice des ces journées d’hommage aux martyrs de Dimbokro.
Selon Mme Guéi, "dans les luttes passées, nécessaires et glorieuses d’une collectivité qui se cherchait alors des raisons d’espérer et de croire en elle-même, Dimbokro avait su déjà être présente et ne point faillir à ces premiers rendez-vous de la dignité et de la liberté d’un peuple".
la directrice régionale de la Culture du N’Zi a alors évoqué que "l’histoire de la Côte d’Ivoire ne saurait s’écrire sans faire mention de Dimbokro, de rendre vivace le souvenir de ces personnes disparues et de susciter notre prise de conscience dans la marche vers la liberté et le développement".
La directrice régionale de la Culture et de la Francophonie a salué "l’option préférentielle" de la tutelle à rapprocher les populations, par l’art et la culture, afin que les ivoiriens se réconcilient avec les valeurs humaines, la paix et la communion de tous.
Les personnalités administratives, politiques, religieuses et coutumières locales présentes aux journées d’hommage ont encouragé et félicité Mme Guéi, lui demandant, d’ailleurs, d’œuvrer à faire des journées d’hommages aux martyrs de Dimbokro une institution au même titre que les carnavals de Bouaké, Bonoua et l’Abissa de Grand-Bassam.
(AIP)
Zgrp/kp
