Man - Le village de la commune de Logoualé, Chantier Cacao, a accueilli dans l’allégresse l'annonce de la création de sa première école primaire samedi par le sous-préfet de Logoualé, Guéi Adolphe.
A l’issue de près de 30 ans de démarche, le village de Carrefour Cacao, peuplé de quelque 1.000 âmes, va pouvoir ouvrir une école primaire publique pour accueillir les enfants de ce village qui fréquentent jusque-là les écoles des villages voisins de Yapleu, Zionlé ou Logoualé où il faut traverser le fleuve N’Zo en pirogue et parfois à la nage.
La programmation de l’école de Chantier Cacao par le comité sous-préfectoral de la carte scolaire de Logoualé a été possible, selon le chef Kessé Joseph, grâce à l’intervention de l’ONG "Forces unies pour le développement de l’ouest" (FUDO) que le village a sollicitée en vue de l’accompagner dans son développement.
Pour le président de l’ONG FUDO, Dioh Ouncado Francis, le développement passe par l’école.
"C’est pourquoi, notre première action dans l’accompagnement de Chantier Cacao qui a un fort potentiel de développement a été de faire en sorte qu’une école officielle s’y ouvre", a-t-il affirmé.
Le sous-préfet Guéi, le tout premier administrateur à mettre les pieds à Chantier Cacao depuis sa création, a félicité l’ONG FUDO de lui avoir permis de découvrir cette importante agglomération, grosse productrice de cacao et de café, qui mérite de bénéficier aussi des actions du gouvernement.
Il a exhorté les villageois à déclarer les naissances à l’état-civil, pour permettre à leurs enfants d’avoir une existence officielle et leur permettre d’aller à l’école, insistant sur la scolarisation des filles.
Ancienne station de recherche sur la cacao-culture de l’ex-société d’assistance pour la modernisation de l’agriculture en Côte d’Ivoire (SATMACI), Chantier Cacao a été repeuplé, après la disparition de ce service, par les riverains qui squattaient la forêt classée dans laquelle des plantations expérimentales étaient pratiquées. Le village n’a ni école ni centre de santé, note-t-on.
Gem/kp
A l’issue de près de 30 ans de démarche, le village de Carrefour Cacao, peuplé de quelque 1.000 âmes, va pouvoir ouvrir une école primaire publique pour accueillir les enfants de ce village qui fréquentent jusque-là les écoles des villages voisins de Yapleu, Zionlé ou Logoualé où il faut traverser le fleuve N’Zo en pirogue et parfois à la nage.
La programmation de l’école de Chantier Cacao par le comité sous-préfectoral de la carte scolaire de Logoualé a été possible, selon le chef Kessé Joseph, grâce à l’intervention de l’ONG "Forces unies pour le développement de l’ouest" (FUDO) que le village a sollicitée en vue de l’accompagner dans son développement.
Pour le président de l’ONG FUDO, Dioh Ouncado Francis, le développement passe par l’école.
"C’est pourquoi, notre première action dans l’accompagnement de Chantier Cacao qui a un fort potentiel de développement a été de faire en sorte qu’une école officielle s’y ouvre", a-t-il affirmé.
Le sous-préfet Guéi, le tout premier administrateur à mettre les pieds à Chantier Cacao depuis sa création, a félicité l’ONG FUDO de lui avoir permis de découvrir cette importante agglomération, grosse productrice de cacao et de café, qui mérite de bénéficier aussi des actions du gouvernement.
Il a exhorté les villageois à déclarer les naissances à l’état-civil, pour permettre à leurs enfants d’avoir une existence officielle et leur permettre d’aller à l’école, insistant sur la scolarisation des filles.
Ancienne station de recherche sur la cacao-culture de l’ex-société d’assistance pour la modernisation de l’agriculture en Côte d’Ivoire (SATMACI), Chantier Cacao a été repeuplé, après la disparition de ce service, par les riverains qui squattaient la forêt classée dans laquelle des plantations expérimentales étaient pratiquées. Le village n’a ni école ni centre de santé, note-t-on.
Gem/kp