Abidjan – La Banque mondiale a octroyé un appui budgétaire d'un montant de 70 millions de dollars, soit environ 35 milliards de francs CFA, afin d’appuyer les efforts déployés par la Côte d'Ivoire pour renforcer son administration publique et faciliter la croissance du secteur privé, d’améliorer la gouvernance et de créer un climat plus propice aux activités des entreprises, le tout dans le but de réduire la pauvreté et de promouvoir la prospérité partagée.
Le deuxième crédit à l'appui de la réduction de la pauvreté (PRSC-2) s'inscrit dans une série programmée de trois opérations soutenant les politiques de développement visant à aider la Côte d'Ivoire à devenir un marché émergent d'ici 2020, conformément à l’objectif que le pays s’est fixé, indique un communiqué transmis lundi à l’AIP.
Les réformes appuyées par cette opération devraient avoir un impact positif, à la fois direct et indirect, sur toute la population ivoirienne en accélérant la croissance et en élargissant les perspectives d'emploi et de revenu, explique le communiqué.
En outre, précise le texte, plusieurs mesures adoptées précédemment auront un effet indirect et positif sur la pauvreté, car elles permettront au gouvernement de mieux cibler les dépenses profitant aux populations défavorisées et de mettre en œuvre des politiques bénéfiques au plan social.
Le premier PRSC, approuvé par le Conseil des administrateurs de la Banque le 30 août 2013, témoignait de la stabilisation de la situation politique en Côte d'Ivoire, de l'amélioration de la sécurité, du renforcement des capacités de la fonction publique ainsi que du retour à un processus électoral normal.
Cet appui budgétaire va d’abord permettre au pays de renforcer la transparence budgétaire et la responsabilisation des agents de l'État. Ensuite, d’instaurer un climat de confiance pour les investisseurs en améliorant rapidement, et de façon largement perceptible, le climat des affaires.
Et enfin, de dynamiser les perspectives économiques en se focalisant sur les sources potentielles de croissance et d'emploi, notamment les exportations à forte intensité de main-d'œuvre.
Ce deuxième crédit, relève le document, viendra également appuyer la mise en œuvre par le gouvernement d'un certain nombre de mesures déjà adoptées dont l'amélioration des processus de passation des marchés publics afin de réduire les ententes directes et d'apurer les arriérés internes, ainsi que la création d'un compte unique pour le Trésor, la restructuration des banques publiques et le renforcement de la situation financière du secteur énergétique.
(AIP)
kkf/kkp/tm
Le deuxième crédit à l'appui de la réduction de la pauvreté (PRSC-2) s'inscrit dans une série programmée de trois opérations soutenant les politiques de développement visant à aider la Côte d'Ivoire à devenir un marché émergent d'ici 2020, conformément à l’objectif que le pays s’est fixé, indique un communiqué transmis lundi à l’AIP.
Les réformes appuyées par cette opération devraient avoir un impact positif, à la fois direct et indirect, sur toute la population ivoirienne en accélérant la croissance et en élargissant les perspectives d'emploi et de revenu, explique le communiqué.
En outre, précise le texte, plusieurs mesures adoptées précédemment auront un effet indirect et positif sur la pauvreté, car elles permettront au gouvernement de mieux cibler les dépenses profitant aux populations défavorisées et de mettre en œuvre des politiques bénéfiques au plan social.
Le premier PRSC, approuvé par le Conseil des administrateurs de la Banque le 30 août 2013, témoignait de la stabilisation de la situation politique en Côte d'Ivoire, de l'amélioration de la sécurité, du renforcement des capacités de la fonction publique ainsi que du retour à un processus électoral normal.
Cet appui budgétaire va d’abord permettre au pays de renforcer la transparence budgétaire et la responsabilisation des agents de l'État. Ensuite, d’instaurer un climat de confiance pour les investisseurs en améliorant rapidement, et de façon largement perceptible, le climat des affaires.
Et enfin, de dynamiser les perspectives économiques en se focalisant sur les sources potentielles de croissance et d'emploi, notamment les exportations à forte intensité de main-d'œuvre.
Ce deuxième crédit, relève le document, viendra également appuyer la mise en œuvre par le gouvernement d'un certain nombre de mesures déjà adoptées dont l'amélioration des processus de passation des marchés publics afin de réduire les ententes directes et d'apurer les arriérés internes, ainsi que la création d'un compte unique pour le Trésor, la restructuration des banques publiques et le renforcement de la situation financière du secteur énergétique.
(AIP)
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