L’Association des enfants et jeunes travailleurs de Côte d’Ivoire (AEJT-CI) avec le soutien technique et financier de l’ONG Save the Children, a organisé le vendredi 12 décembre 2014, à Grand Bassam, un atelier de validation de « la charte nationale pour l’élimination des violences et abus en milieu scolaire », conformément aux conventions et dispositions légales relatives à la protection de l’enfant, de son environnement et d’œuvrer à sa stricte application en Côte d’Ivoire.
Aujourd’hui, dans les institutions scolaires comme dans les communautés, nombreux sont les enfants qui sont victimes de violations graves de leurs droits. Et ces violations contribuent à les rendre plus vulnérables. La nécessité de rétablir les possibilités d’apprentissage dans un environnement sûr et accueillant s’impose. Les écoles devraient être respectées et protégées comme des sanctuaires et des zones de paix.
C’est dans ce contexte que l’ AEJT-CI en collaboration avec la coalition des organisations et associations d’enfants de Cote d’Ivoire et les représentants de ministères techniques, s’inspirant de la charte de Bloléquin ont décidé d’adopter au niveau national une charte pour l’élimination des violences et abus faits aux enfants dans le milieu scolaire en Côte d’Ivoire.
L’occasion a été donnée à Houeto Yves Roland, Chargé de coordination nationale AEJT-CI d’exprimer sa satisfaction quant à la tenue de cet atelier de validation.
« Plusieurs enfants ont dû fuir et abandonner l’école à cause de la chicotte ou des punitions du ‘’lundi matin’’. Un ainé dont je tais le nom disait et je cite : si la chicote rendait intelligent, l’Afrique aurait eu les plus grands savants, mais malheureusement nous continuons d’utiliser les appareils fabriqués par de jeunes européens » a-t’il déclaré.
Il a poursuivi son propos en indiquant que, ladite charte intervient également dans la préservation des infrastructures scolaires car des dispositions sont prises pour éviter d’utiliser les établissements scolaires en cas de conflits ou catastrophes naturelles comme camps de refugiés, déplacés ou base arrière de milice.
« Que toutes les couches de la population et l’état particulièrement nous aide à vulgariser et à faire appliquer cette charte » a souhaité Houeto Yves Roland, Chargé de Coordination de AEJT-CI.
Tout comme, la convention des Nations Unies relatives aux droits de l’enfant et sa résolution1612 ; le protocole relatif à l’implication des enfants dans les conflits armés ; le protocole facultatif se rapportant à la vente d’enfant, la prostitution et la pornographie mettant en scène des enfants ; l’arrêté du 29 septembre 2009 portant interdiction des punitions physiques et humiliantes dans les établissements ; la question de l’éducation demeure à jamais l’une des préoccupations majeures de l’Etat de Côte d’Ivoire.
L’élaboration de la charte de Bloléquin du 30 octobre 2013 est le point de départ de la charte nationale dont l’objectif reste le même.
Aujourd’hui, dans les institutions scolaires comme dans les communautés, nombreux sont les enfants qui sont victimes de violations graves de leurs droits. Et ces violations contribuent à les rendre plus vulnérables. La nécessité de rétablir les possibilités d’apprentissage dans un environnement sûr et accueillant s’impose. Les écoles devraient être respectées et protégées comme des sanctuaires et des zones de paix.
C’est dans ce contexte que l’ AEJT-CI en collaboration avec la coalition des organisations et associations d’enfants de Cote d’Ivoire et les représentants de ministères techniques, s’inspirant de la charte de Bloléquin ont décidé d’adopter au niveau national une charte pour l’élimination des violences et abus faits aux enfants dans le milieu scolaire en Côte d’Ivoire.
L’occasion a été donnée à Houeto Yves Roland, Chargé de coordination nationale AEJT-CI d’exprimer sa satisfaction quant à la tenue de cet atelier de validation.
« Plusieurs enfants ont dû fuir et abandonner l’école à cause de la chicotte ou des punitions du ‘’lundi matin’’. Un ainé dont je tais le nom disait et je cite : si la chicote rendait intelligent, l’Afrique aurait eu les plus grands savants, mais malheureusement nous continuons d’utiliser les appareils fabriqués par de jeunes européens » a-t’il déclaré.
Il a poursuivi son propos en indiquant que, ladite charte intervient également dans la préservation des infrastructures scolaires car des dispositions sont prises pour éviter d’utiliser les établissements scolaires en cas de conflits ou catastrophes naturelles comme camps de refugiés, déplacés ou base arrière de milice.
« Que toutes les couches de la population et l’état particulièrement nous aide à vulgariser et à faire appliquer cette charte » a souhaité Houeto Yves Roland, Chargé de Coordination de AEJT-CI.
Tout comme, la convention des Nations Unies relatives aux droits de l’enfant et sa résolution1612 ; le protocole relatif à l’implication des enfants dans les conflits armés ; le protocole facultatif se rapportant à la vente d’enfant, la prostitution et la pornographie mettant en scène des enfants ; l’arrêté du 29 septembre 2009 portant interdiction des punitions physiques et humiliantes dans les établissements ; la question de l’éducation demeure à jamais l’une des préoccupations majeures de l’Etat de Côte d’Ivoire.
L’élaboration de la charte de Bloléquin du 30 octobre 2013 est le point de départ de la charte nationale dont l’objectif reste le même.
