Abidjan - Les flux commerciaux entre l’Afrique et les pays du Conseil de coopération du Golfe (CCG) sont en plein essor, selon une étude publiée par l'Economist Intelligence Unit (EIU) en collaboration avec Falcon and Associates.
Selon le rapport, intitulé GCC Trade and Investment Flows (Flux commerciaux et d'investissement du CCG) et publié mercredi, les pays du CCG portent davantage leur attention sur de nouveaux marchés en Afrique de l'Est, de l'Ouest et du Sud.
Cette étude, indique-t-on, a exploré les liens économiques du CCG avec chaque région du monde et identifié les principaux moteurs de croissance.
"L'une des principales constatations est que le CCG renforce sa présence en Afrique par secteur et par zone géographique", relève le rapport, précisant que les flux d'investissement se diversifient, partant des activités de télécommunications et de capital investissement en Afrique de l'Ouest aux projets énergétiques en Afrique du Sud et au Mozambique.
A en croire les conclusions de ce rapport, Dubaï et les Émirats arabes unis (ÉAU) se présentent comme un partenaire d'échange et d'investissement essentiel sur tout le continent africain avec environ 300 millions USD d’accord signé en 2014 par l'Investment Corporation of Dubai (ICD) avec Dangote Cement en Afrique de l'Ouest et l’achat de parts significatives dans le capital de Kerzner International.
Au cours de cette même année, le groupe Jumeirah, basé à Dubaï, a étendu ses activités à l'Afrique du Nord avec une convention de direction à l’Île Maurice.
Selon les estimations de la Banque mondiale, le déficit en matière d’infrastructure sur le continent africain est estimé à 96 millions USD par an.
"Les opportunités en matière d'infrastructure sont un facteur de croissance essentiel", souligne le rapport, notant que c’est dans le secteur des produits de grande consommation que réside l’une des opportunités ayant l'émergence la plus rapide sur le continent.
L'Economist Intelligence Unit, la division spécialisée dans le commerce interentreprises de The Economist Group, qui publie le journal The Economist, est le leader mondial en matière de veille économique. Elle aide les dirigeants à prendre de meilleures décisions en mettant à leur disposition des analyses opportunes, fiables et impartiales sur les tendances du marché mondial et les stratégies commerciales.
Falcon and Associates, pour sa part, est une agence de conseil en stratégie travaillant au nom de la classe dirigeante de Dubaï.
kp
Selon le rapport, intitulé GCC Trade and Investment Flows (Flux commerciaux et d'investissement du CCG) et publié mercredi, les pays du CCG portent davantage leur attention sur de nouveaux marchés en Afrique de l'Est, de l'Ouest et du Sud.
Cette étude, indique-t-on, a exploré les liens économiques du CCG avec chaque région du monde et identifié les principaux moteurs de croissance.
"L'une des principales constatations est que le CCG renforce sa présence en Afrique par secteur et par zone géographique", relève le rapport, précisant que les flux d'investissement se diversifient, partant des activités de télécommunications et de capital investissement en Afrique de l'Ouest aux projets énergétiques en Afrique du Sud et au Mozambique.
A en croire les conclusions de ce rapport, Dubaï et les Émirats arabes unis (ÉAU) se présentent comme un partenaire d'échange et d'investissement essentiel sur tout le continent africain avec environ 300 millions USD d’accord signé en 2014 par l'Investment Corporation of Dubai (ICD) avec Dangote Cement en Afrique de l'Ouest et l’achat de parts significatives dans le capital de Kerzner International.
Au cours de cette même année, le groupe Jumeirah, basé à Dubaï, a étendu ses activités à l'Afrique du Nord avec une convention de direction à l’Île Maurice.
Selon les estimations de la Banque mondiale, le déficit en matière d’infrastructure sur le continent africain est estimé à 96 millions USD par an.
"Les opportunités en matière d'infrastructure sont un facteur de croissance essentiel", souligne le rapport, notant que c’est dans le secteur des produits de grande consommation que réside l’une des opportunités ayant l'émergence la plus rapide sur le continent.
L'Economist Intelligence Unit, la division spécialisée dans le commerce interentreprises de The Economist Group, qui publie le journal The Economist, est le leader mondial en matière de veille économique. Elle aide les dirigeants à prendre de meilleures décisions en mettant à leur disposition des analyses opportunes, fiables et impartiales sur les tendances du marché mondial et les stratégies commerciales.
Falcon and Associates, pour sa part, est une agence de conseil en stratégie travaillant au nom de la classe dirigeante de Dubaï.
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