Bangolo – Le consul général du Burkina Faso à Bouaké, Yabré Maxime, qui a rendu visite samedi aux populations de la sous-préfecture de Bléniminhouin, dans le département de Bangolo, a invité ses compatriotes occupant le parc national du Mont Péko à s’apprêter à libérer le site.
"Le gouvernement ivoirien a décidé de réhabiliter le parc du Mont Péko. Il ne faut pas leur faire obstacle car nos deux pays vivent en parfaite harmonie. Un processus est en cours dans ce sens. Apprêtez-vous donc à partir", a dit le diplomate burkinabé.
Le parc national du Mont Péko dont deux tiers sont sur le territoire départemental de Bangolo est occupé, selon les chiffres des autorités ivoiriennes, par environ 27.000 personnes dont 96% de populations étrangères, en majorité des ressortissants burkinabé.
Depuis la fin de la crise postélectorale, le gouvernement ivoirien, appuyé par des partenaires, a décidé de mettre de l’ordre dans le parc. Cette opération a débuté avec l’arrestation en mai 2013 d’Amadé Ouérémi qui y régnait en maître.
"Avec les Forces républicaines de Côte d’Ivoire (FRCI) basées à Duékoué et Bangolo, nous avons reçu du gouvernement le mandat de maintenir le parc en l’état actuel en attendant que les solutions qui arrangent toutes les parties soient trouvées", a indiqué le chef du secteur Mont Péko de l’Office ivoirien des parcs et réserves (OIPR), le capitaine Ouattara Kpolo.
(AIP)
jn/aaa/kkp/kam
"Le gouvernement ivoirien a décidé de réhabiliter le parc du Mont Péko. Il ne faut pas leur faire obstacle car nos deux pays vivent en parfaite harmonie. Un processus est en cours dans ce sens. Apprêtez-vous donc à partir", a dit le diplomate burkinabé.
Le parc national du Mont Péko dont deux tiers sont sur le territoire départemental de Bangolo est occupé, selon les chiffres des autorités ivoiriennes, par environ 27.000 personnes dont 96% de populations étrangères, en majorité des ressortissants burkinabé.
Depuis la fin de la crise postélectorale, le gouvernement ivoirien, appuyé par des partenaires, a décidé de mettre de l’ordre dans le parc. Cette opération a débuté avec l’arrestation en mai 2013 d’Amadé Ouérémi qui y régnait en maître.
"Avec les Forces républicaines de Côte d’Ivoire (FRCI) basées à Duékoué et Bangolo, nous avons reçu du gouvernement le mandat de maintenir le parc en l’état actuel en attendant que les solutions qui arrangent toutes les parties soient trouvées", a indiqué le chef du secteur Mont Péko de l’Office ivoirien des parcs et réserves (OIPR), le capitaine Ouattara Kpolo.
(AIP)
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