Les Ivoiriens exilés dans les pays de la sous-région ouest-africaine affectés par l'épidémie de la fièvre hémorragique à virus Ebola pourront regagner leur pays grâce aux couloirs humanitaires établis par le gouvernement ivoirien, a indiqué mardi à Abidjan la patronne de l'Opération des Nations unies en Côte d'Ivoire (Onuci), Aïchatou Mindaoudou.
La représente du secrétaire général de l'Onu pour la Côte d'Ivoire a fait cette déclaration lors d'une réunion du Comité de veille de la lutte contre l'épidémie à virus Ebola mis en place en Côte d'Ivoire.
Selon Mme Mindaoudou, le Comité de veille a envisagé d'utiliser les couloirs humanitaires pour faire entrer dans leur pays les exilés ivoiriens vivant dans les pays infectés par l'épidémie d'Ebola, tels que le Liberia et la Guinée, des pays frontaliers à la Côte d'Ivoire.
Près de 50 000 Ivoiriens sur environ 200 000 qui avaient fui leur pays au plus fort des violences post-électorales de 2010-2011 vivent encore dans la sous-région, notamment au Liberia.
Le gouvernement avait fermé ses frontières avec les pays voisins atteints par l'épidémie avant de les rouvrir après avoir annoncé l'établissement de couloirs humanitaires et économiques.
A la suite de Mme Mindaoudou, le Nonce apostolique, Mgr Joseph Spiteri, a réaffirmé l'engagement des partenaires au développement qui siègent au sein du Comité de veille à toujours soutenir la riposte du gouvernement contre cette épidémie.
"Grâce à Dieu et à tout le monde, nous n'avons pas de cas en Côte d'Ivoire, nous espérons pouvoir tenir cette situation", a-t-il dit.
Le gouvernement a consenti sur fonds propre une enveloppe initiale de 1,5 milliard de FCFA pour mettre en œuvre un plan d'urgence contre le virus Ebola.
Avec l'appui des partenaires au développement, un plan global de lutte contre cette épidémie doté d'un budget de 57 milliards FCFA a été engagé à la suite de ce plan d'urgence.
Le Comité de veille de la lutte contre l'épidémie à virus Ebola qui se réunit toutes les quinzaines a tenu sa première rencontre le 11 septembre après avoir été institué par décret le 3 septembre.
Il fait le point de la situation de la riposte nationale contre l'épidémie qui a fait près de 8.000 morts en Afrique de l'Ouest depuis son apparition en janvier en Guinée.
La représente du secrétaire général de l'Onu pour la Côte d'Ivoire a fait cette déclaration lors d'une réunion du Comité de veille de la lutte contre l'épidémie à virus Ebola mis en place en Côte d'Ivoire.
Selon Mme Mindaoudou, le Comité de veille a envisagé d'utiliser les couloirs humanitaires pour faire entrer dans leur pays les exilés ivoiriens vivant dans les pays infectés par l'épidémie d'Ebola, tels que le Liberia et la Guinée, des pays frontaliers à la Côte d'Ivoire.
Près de 50 000 Ivoiriens sur environ 200 000 qui avaient fui leur pays au plus fort des violences post-électorales de 2010-2011 vivent encore dans la sous-région, notamment au Liberia.
Le gouvernement avait fermé ses frontières avec les pays voisins atteints par l'épidémie avant de les rouvrir après avoir annoncé l'établissement de couloirs humanitaires et économiques.
A la suite de Mme Mindaoudou, le Nonce apostolique, Mgr Joseph Spiteri, a réaffirmé l'engagement des partenaires au développement qui siègent au sein du Comité de veille à toujours soutenir la riposte du gouvernement contre cette épidémie.
"Grâce à Dieu et à tout le monde, nous n'avons pas de cas en Côte d'Ivoire, nous espérons pouvoir tenir cette situation", a-t-il dit.
Le gouvernement a consenti sur fonds propre une enveloppe initiale de 1,5 milliard de FCFA pour mettre en œuvre un plan d'urgence contre le virus Ebola.
Avec l'appui des partenaires au développement, un plan global de lutte contre cette épidémie doté d'un budget de 57 milliards FCFA a été engagé à la suite de ce plan d'urgence.
Le Comité de veille de la lutte contre l'épidémie à virus Ebola qui se réunit toutes les quinzaines a tenu sa première rencontre le 11 septembre après avoir été institué par décret le 3 septembre.
Il fait le point de la situation de la riposte nationale contre l'épidémie qui a fait près de 8.000 morts en Afrique de l'Ouest depuis son apparition en janvier en Guinée.