Après avoir été accusé récemment d’avoir contribué à la propagation du virus Ebola, le FMI est sommé de tous parts d’alléger la dette des pays victimes de la fièvre hémorragique. Cette demande est partie de la proposition des chefs d’Etat des pays du G20 réunis en Australie à la mi-novembre, qui ont estimé que la nouvelle enveloppe budgétaire de 300 millions de dollars promise par le Fonds contre Ebola devrait notamment prendre la forme d’un « allègement de dette ».
«Le problème d’utiliser des prêts pour aider des pays pauvres tient au fait qu’ils doivent rembourser le moindre centime même si leur situation s’aggrave », explique David Roodman, conseiller indépendant sur le développement.
Un problème qui nécessite que le... suite de l'article sur
«Le problème d’utiliser des prêts pour aider des pays pauvres tient au fait qu’ils doivent rembourser le moindre centime même si leur situation s’aggrave », explique David Roodman, conseiller indépendant sur le développement.
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