Ouangolodougou - Le président de l’Assemblée nationale (PAN) de Côte d’Ivoire, Guillaume Kigbafori Soro, a appelé les populations du département de Ouangolodougou à cultiver l’union pour le développement de la région du Tchologo, lors d’une visite qu’il leur a rendue, mercredi, au centre culturel de la ville.
Revenant sur les raisons de la crise qu’a connue la Côte d’Ivoire en 2002, M. Soro a estimé qu’elle était le fait d’une "période difficile pour la Côte d’Ivoire" au cours de laquelle "le sentiment d’exclusion était bien réel."
"Aujourd’hui, je suis fier de savoir que maintenant, de plus en plus, il est venu à l’esprit de tous les Ivoiriens de se respecter les uns les autres, de se mettre au-dessus des ethnies et de considérer que le bien commun à tous est notre patrie. Je suis donc venu dire à mes parents de prendre courage et féliciter ceux qui n’ont pas failli, car le plus difficile commence maintenant pour nous parce que toute la vie, quand un combat s’achève, un autre débute", a-t-il dit.
Le PAN a prié les populations de Ouangolodougou de s’unir pour le bien de leur département et, au-delà, de toute la région du Tchologo.
"Si on a combattu pour la dignité, c’est maintenant le moment de nous mettre ensemble, car les divisions ne feront que nous affaiblir. Au nom de ce qui nous unit, il faut qu’on se donne la main pour bâtir l’union vraie. C’est pourquoi, je demande que nous puissions travailler à l’union des filles et fils, non seulement du département, mais de la région", a ajouté le chef du parlement.
(AIP)
ck/aaa/kp
Revenant sur les raisons de la crise qu’a connue la Côte d’Ivoire en 2002, M. Soro a estimé qu’elle était le fait d’une "période difficile pour la Côte d’Ivoire" au cours de laquelle "le sentiment d’exclusion était bien réel."
"Aujourd’hui, je suis fier de savoir que maintenant, de plus en plus, il est venu à l’esprit de tous les Ivoiriens de se respecter les uns les autres, de se mettre au-dessus des ethnies et de considérer que le bien commun à tous est notre patrie. Je suis donc venu dire à mes parents de prendre courage et féliciter ceux qui n’ont pas failli, car le plus difficile commence maintenant pour nous parce que toute la vie, quand un combat s’achève, un autre débute", a-t-il dit.
Le PAN a prié les populations de Ouangolodougou de s’unir pour le bien de leur département et, au-delà, de toute la région du Tchologo.
"Si on a combattu pour la dignité, c’est maintenant le moment de nous mettre ensemble, car les divisions ne feront que nous affaiblir. Au nom de ce qui nous unit, il faut qu’on se donne la main pour bâtir l’union vraie. C’est pourquoi, je demande que nous puissions travailler à l’union des filles et fils, non seulement du département, mais de la région", a ajouté le chef du parlement.
(AIP)
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