Abidjan- Le Président français, François Hollande, invité lundi sur France Inter à évaluer son quinquennat, a défendu son action, estimant avoir pris "un chemin de gauche".
Interrogé s'il était sûr d'avoir pris "le bon chemin", il a répondu : "nous le verrons à la fin, parce qu'un chemin, c'est là où il conduit, et je fais tout pour que la France soit plus forte et plus juste à la fin de mon quinquennat".
Le chef de l'Etat a auparavant été confronté à une de ses propres citations, issue de son discours de candidat au Bourget, en janvier 2012 : "L'histoire n'est pas une addition de fatalités successives, elle nous enseigne qu'il y a toujours plusieurs chemins."
"Est-ce que c'est un chemin de gauche ?, s'est alors interrogé le chef de l'Etat au micro de France Inter. C'est un chemin qui fait en sorte que nous puissions donner autant de force qu'il soit possible à notre économie sans mettre en cause les valeurs républicaines et le modèle social."
(AIP)
cmas
Interrogé s'il était sûr d'avoir pris "le bon chemin", il a répondu : "nous le verrons à la fin, parce qu'un chemin, c'est là où il conduit, et je fais tout pour que la France soit plus forte et plus juste à la fin de mon quinquennat".
Le chef de l'Etat a auparavant été confronté à une de ses propres citations, issue de son discours de candidat au Bourget, en janvier 2012 : "L'histoire n'est pas une addition de fatalités successives, elle nous enseigne qu'il y a toujours plusieurs chemins."
"Est-ce que c'est un chemin de gauche ?, s'est alors interrogé le chef de l'Etat au micro de France Inter. C'est un chemin qui fait en sorte que nous puissions donner autant de force qu'il soit possible à notre économie sans mettre en cause les valeurs républicaines et le modèle social."
(AIP)
cmas