Le gouvernement ivoirien a rassuré, mercredi, qu’ ‘’aucun danger ne viendra de la Côte d’Ivoire’’ pour perturber les élections présidentielles burkinabè prévues en octobre 2015.
« Aucun danger ne viendra de la Côte d’Ivoire », a déclaré le porte-parole du gouvernement ivoirien Bruno Nabagné Koné à l’issue du premier Conseil des ministres de l’année présidé par le Chef de l’Etat Alassane Ouattara.
« La Côte d’Ivoire fera tout pour maintenir ses relations qu’elle entretient avec le pays frère qu’est le Burkina Faso », a ajouté M. Koné, également ministre de la Poste, des technologies de l’information et de la communication.
Le président de la transition burkinabè Michel Kafando a exprimé mardi des réserves concernant la participation des Burkinabè de Côte d’Ivoire à la prochaine présidentielle prévue en 2015 dans son pays.
« Le vote de nos ressortissants en Côte d’Ivoire risque d’être assez difficile (…) c’est le pays où forcément nous n’avons pas beaucoup d’amis, et, enfin, certaines opérations qui devaient être faites ne l’ont pas été », a dit M. Kanfando, relevant que « nous avons peur aussi que le danger ne vienne de là-bas, c’est-à-dire qu’il ne faut pas que nos propres élections soient perturbées au Burkina parce que de l’autre côté on aura sciemment manigancé des choses ».
L’ex-président du Burkina Faso, Blaise Compaoré est réfugié en Côte d’Ivoire après sa chute, le 31 octobre 2014 par un soulèvement population provoqué par son intention de réviser la constitution en vue de se représenter à l’élection.
LS/hs/APA
« Aucun danger ne viendra de la Côte d’Ivoire », a déclaré le porte-parole du gouvernement ivoirien Bruno Nabagné Koné à l’issue du premier Conseil des ministres de l’année présidé par le Chef de l’Etat Alassane Ouattara.
« La Côte d’Ivoire fera tout pour maintenir ses relations qu’elle entretient avec le pays frère qu’est le Burkina Faso », a ajouté M. Koné, également ministre de la Poste, des technologies de l’information et de la communication.
Le président de la transition burkinabè Michel Kafando a exprimé mardi des réserves concernant la participation des Burkinabè de Côte d’Ivoire à la prochaine présidentielle prévue en 2015 dans son pays.
« Le vote de nos ressortissants en Côte d’Ivoire risque d’être assez difficile (…) c’est le pays où forcément nous n’avons pas beaucoup d’amis, et, enfin, certaines opérations qui devaient être faites ne l’ont pas été », a dit M. Kanfando, relevant que « nous avons peur aussi que le danger ne vienne de là-bas, c’est-à-dire qu’il ne faut pas que nos propres élections soient perturbées au Burkina parce que de l’autre côté on aura sciemment manigancé des choses ».
L’ex-président du Burkina Faso, Blaise Compaoré est réfugié en Côte d’Ivoire après sa chute, le 31 octobre 2014 par un soulèvement population provoqué par son intention de réviser la constitution en vue de se représenter à l’élection.
LS/hs/APA