Grand-Bassam - Le ministère du Plan a procédé mardi au lancement du Programme des investissements publics (PIP) 2016-2018, lors d’un atelier à Grand-Bassam (région du Sud-Comoé).
A l’ouverture de ce séminaire qui permettra d’engager les réflexions sur des problèmes rencontrés lors de l’exécution des PIP, le directeur général du plan et de la lutte contre la pauvreté, Diaby Lanciné, a indiqué que cette plateforme de rencontres et d’échanges entre tous les acteurs impliqués "constitue un exercice routinier qui permet de renforcer davantage les capacités des différents acteurs du processus".
Pour le représentant du ministre du Plan et du Développement, Famoussa Coulibaly, par ailleurs directeur de cabinet adjoint, l’efficacité de l’action publique passe par la qualité de l’investissement. Aussi, a-t-il affirmé que "les contraintes de financement nous imposent des choix possibles que si les "projets à mettre en œuvre sont bien évalués dans leur coût, leur intérêt, leur pertinence économique et sociale ainsi que leur cohérence avec les cadres d’orientation que sont les stratégies sectorielles et la vision de l’Etat".
"Il est de plus en plus admis que les projets d’investissement n’entrent au budget que s’ils sont préalablement inscrits au PIP", a conclu M. Coulibaly.
Plusieurs ministères prennent part à ce séminaire qui s’achève dimanche.
Ko/ik/kkp/ask
A l’ouverture de ce séminaire qui permettra d’engager les réflexions sur des problèmes rencontrés lors de l’exécution des PIP, le directeur général du plan et de la lutte contre la pauvreté, Diaby Lanciné, a indiqué que cette plateforme de rencontres et d’échanges entre tous les acteurs impliqués "constitue un exercice routinier qui permet de renforcer davantage les capacités des différents acteurs du processus".
Pour le représentant du ministre du Plan et du Développement, Famoussa Coulibaly, par ailleurs directeur de cabinet adjoint, l’efficacité de l’action publique passe par la qualité de l’investissement. Aussi, a-t-il affirmé que "les contraintes de financement nous imposent des choix possibles que si les "projets à mettre en œuvre sont bien évalués dans leur coût, leur intérêt, leur pertinence économique et sociale ainsi que leur cohérence avec les cadres d’orientation que sont les stratégies sectorielles et la vision de l’Etat".
"Il est de plus en plus admis que les projets d’investissement n’entrent au budget que s’ils sont préalablement inscrits au PIP", a conclu M. Coulibaly.
Plusieurs ministères prennent part à ce séminaire qui s’achève dimanche.
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