Abidjan (Côte d'Ivoire) - Eugène Djué a été porté, samedi, au terme de l’Assemblée générale constitutive, à la tête de l’amicale des anciens de la Fédération estudiantine et scolaire de Côte d'Ivoire (FESCI), dénommée ‘’Génération 90’’ (G.90), pour un mandat de trois ans.
‘' Les anciens fescistes que nous sommes, entendons prendre notre place dans la nouvelle Côte d'Ivoire. G90 a pour objectifs de rétablir et consolider la chaîne de solidarité et de fraternité entre les anciens de la FESCI, de promouvoir la non-violence, la paix et la cohésion sociale'' a déclaré le Président Eugène Djué après son élection par acclamation, les autres candidats ayant désisté en sa faveur.
G.90 qui regroupe les fescistes de toutes les générations ‘'sans distinction d'appartenance politique'' se veut le creuset de toutes ‘'les intelligences avec leurs divergences pour maintenir cette flamme créée en 1990 car la FESCI est un esprit en nous qui fait que quelque soit nos différentes obédiences politiques, nous sommes liées'', a renchéri le ministre Sidiki Konaté qui a pris part à cette Assemblée générale.
Les anciens de la lutte syndicale estudiantine qui sont pour beaucoup dans l'administration ivoirienne et dans le secteur privé affirment vouloir préserver les ‘'acquis démocratiques'' et redorer l'image de la FESCI qui ‘'n'est pas une association de violence mais victime de la violence''.
La FESCI née dans les années 1990 dans le milieu scolaire et universitaire a été, successivement, dirigée par Martial Ahipeaud (1990-1993), Eugène Djué (1993), Jean Blé Guirao (1993-1994), Guillaume Soro (1995-1998), Charles Blé Goudé (1998-2000), Jean-Yves Dibopieu (2000-2003), Serge Kuyo (2004-2006), Serge Koffi (2006-2008), Augustin Mian (2008-2014) et Fulgence Assi le nouveau Secrétaire général depuis 2014.
Dans les années 2000, sous le régime de l'ex-président Laurent Gbagbo, la FESCI a été parfois vue comme une milice par ses détracteurs et a été souvent accusée par les ONG nationales et internationales de violences à l'égard des opposants de Laurent Gbagbo ainsi que de racket en milieu étudiant.
HS/ls
‘' Les anciens fescistes que nous sommes, entendons prendre notre place dans la nouvelle Côte d'Ivoire. G90 a pour objectifs de rétablir et consolider la chaîne de solidarité et de fraternité entre les anciens de la FESCI, de promouvoir la non-violence, la paix et la cohésion sociale'' a déclaré le Président Eugène Djué après son élection par acclamation, les autres candidats ayant désisté en sa faveur.
G.90 qui regroupe les fescistes de toutes les générations ‘'sans distinction d'appartenance politique'' se veut le creuset de toutes ‘'les intelligences avec leurs divergences pour maintenir cette flamme créée en 1990 car la FESCI est un esprit en nous qui fait que quelque soit nos différentes obédiences politiques, nous sommes liées'', a renchéri le ministre Sidiki Konaté qui a pris part à cette Assemblée générale.
Les anciens de la lutte syndicale estudiantine qui sont pour beaucoup dans l'administration ivoirienne et dans le secteur privé affirment vouloir préserver les ‘'acquis démocratiques'' et redorer l'image de la FESCI qui ‘'n'est pas une association de violence mais victime de la violence''.
La FESCI née dans les années 1990 dans le milieu scolaire et universitaire a été, successivement, dirigée par Martial Ahipeaud (1990-1993), Eugène Djué (1993), Jean Blé Guirao (1993-1994), Guillaume Soro (1995-1998), Charles Blé Goudé (1998-2000), Jean-Yves Dibopieu (2000-2003), Serge Kuyo (2004-2006), Serge Koffi (2006-2008), Augustin Mian (2008-2014) et Fulgence Assi le nouveau Secrétaire général depuis 2014.
Dans les années 2000, sous le régime de l'ex-président Laurent Gbagbo, la FESCI a été parfois vue comme une milice par ses détracteurs et a été souvent accusée par les ONG nationales et internationales de violences à l'égard des opposants de Laurent Gbagbo ainsi que de racket en milieu étudiant.
HS/ls
