Abengourou- Une quinzaine d’administrateurs et de responsables financiers de six organisations non gouvernementales d’Abengourou et de Bondoukou, œuvrant pour la protection des droits des enfants, ont pris part mardi et mercredi à Abengourou à un atelier de renforcement des capacités initié par Save the Children- Côte d’Ivoire.
Il s’est agit pour les responsables de cette organisation internationale de protection des droits des enfants d’aider ces derniers à améliorer l’efficacité des programmes et projets mis en œuvre. Cette session de formation avait également pour but de leur offrir la capacité de planifier, mettre en œuvre et évaluer les programmes et projets dont ils ont la charge de l’exécution.
Plusieurs thèmes ont été abordés au cours des travaux au nombre desquels figuraient en bonne place la gestion financière et la fraude. Le directeur financier de Save the Children-CI, Toukpa Emmanuel Edouard, chargé d’animer ce thème, a mis l’accent sur les différentes étapes d’élaboration du budget.
A savoir, l’identification des objectifs, l’identification du financement, l’identification des activités, l’identification des ajouts et la confirmation du financement.
A cela il faut ajouter le réalisme du budget, le suivi budgétaire et les bonnes pratiques développées par Save The Children pour promouvoir la bonne gouvernance.
Le formateur qui a, par ailleurs, relevé quelques exemples de fraudes, notamment, les fausses factures, la fraude sur la chaine d’approvisionnement, la fraude sur la paie et la falsification des documents, à sensibiliser les participants à prendre des mesures énergiques pour lutter contre ces mauvaises pratiques.
Il les a exhortés à tout mettre en œuvre pour assurer une gestion transparente et rigoureuse des ressources mises à leur disposition en minimisant l’incidence de la fraude et de la corruption.
Pour lui, il est impératif de faire en sorte d’éviter de tomber sous le coup des sanctions qui sont le corollaire de la « politique de zéro tolérance en cas de fraude » adoptée par l’ONG Save the Children en vue de promouvoir la bonne gouvernance.
(AIP)
rkk/ask
Il s’est agit pour les responsables de cette organisation internationale de protection des droits des enfants d’aider ces derniers à améliorer l’efficacité des programmes et projets mis en œuvre. Cette session de formation avait également pour but de leur offrir la capacité de planifier, mettre en œuvre et évaluer les programmes et projets dont ils ont la charge de l’exécution.
Plusieurs thèmes ont été abordés au cours des travaux au nombre desquels figuraient en bonne place la gestion financière et la fraude. Le directeur financier de Save the Children-CI, Toukpa Emmanuel Edouard, chargé d’animer ce thème, a mis l’accent sur les différentes étapes d’élaboration du budget.
A savoir, l’identification des objectifs, l’identification du financement, l’identification des activités, l’identification des ajouts et la confirmation du financement.
A cela il faut ajouter le réalisme du budget, le suivi budgétaire et les bonnes pratiques développées par Save The Children pour promouvoir la bonne gouvernance.
Le formateur qui a, par ailleurs, relevé quelques exemples de fraudes, notamment, les fausses factures, la fraude sur la chaine d’approvisionnement, la fraude sur la paie et la falsification des documents, à sensibiliser les participants à prendre des mesures énergiques pour lutter contre ces mauvaises pratiques.
Il les a exhortés à tout mettre en œuvre pour assurer une gestion transparente et rigoureuse des ressources mises à leur disposition en minimisant l’incidence de la fraude et de la corruption.
Pour lui, il est impératif de faire en sorte d’éviter de tomber sous le coup des sanctions qui sont le corollaire de la « politique de zéro tolérance en cas de fraude » adoptée par l’ONG Save the Children en vue de promouvoir la bonne gouvernance.
(AIP)
rkk/ask