Man –L’ONG International Rescue Committee (IRC), a officiellement remis, mardi, le centre de traitement de la fièvre hémorragique à virus Ebola de Man réalisé dans le cadre du "Projet d’appui à la prévention et à la réponse contre la maladie à virus Ebola" aux autorités administratives et sanitaires de la capitale du District des Montagnes.
Le centre est financé par la France dans le cadre du contrat de désendettement-développement (C2D) à travers la Direction générale de l’aide humanitaire et de la protection civile (ECHO) de l’Union Européenne.
Remerciant les donateurs, le Secrétaire général 1 de la Préfecture de Man, Gnagbi Diby Victor, a interpelé les hommes de presse les invitant à "donner la bonne information", indiquant qu’il s’agit d’un centre installé à titre préventif et soulignant qu’il n’y a pas de cas d’Ebola en Côte d’Ivoire à ce jour. Il a déploré des articles de presse, donnant des "informations non fondées et approximatives" qui ont créé une psychose au sein de la population.
Installé sur le site de la direction déprtementale de la Santé et de la lutte contre le SIDA, la structure de prise en charge des cas suspects et confirmés de la maladie répond au normes au dire de ses réalisateurs. Il comprend trois grands blocs. A savoir la zone sans risque, une zone au moyens risque ou zone technique et une zone à risque.
Le centre a une salle de dosage de chlore et d’une citerne d’eau d’une capacité de 2000 l pour assurer son autonomie en cas de coupure d’eau, a expliqué le logisticien de IRC.
(AIP)
gem/ask
Le centre est financé par la France dans le cadre du contrat de désendettement-développement (C2D) à travers la Direction générale de l’aide humanitaire et de la protection civile (ECHO) de l’Union Européenne.
Remerciant les donateurs, le Secrétaire général 1 de la Préfecture de Man, Gnagbi Diby Victor, a interpelé les hommes de presse les invitant à "donner la bonne information", indiquant qu’il s’agit d’un centre installé à titre préventif et soulignant qu’il n’y a pas de cas d’Ebola en Côte d’Ivoire à ce jour. Il a déploré des articles de presse, donnant des "informations non fondées et approximatives" qui ont créé une psychose au sein de la population.
Installé sur le site de la direction déprtementale de la Santé et de la lutte contre le SIDA, la structure de prise en charge des cas suspects et confirmés de la maladie répond au normes au dire de ses réalisateurs. Il comprend trois grands blocs. A savoir la zone sans risque, une zone au moyens risque ou zone technique et une zone à risque.
Le centre a une salle de dosage de chlore et d’une citerne d’eau d’une capacité de 2000 l pour assurer son autonomie en cas de coupure d’eau, a expliqué le logisticien de IRC.
(AIP)
gem/ask