Abidjan - La ministre de la Solidarité, de la Famille, de la Femme et de l’Enfant, Anne Désirée Ouloto, a expliqué samedi, lors d’un déjeuner de presse portant sur le bilan de ses actions, qu’elle n’est pas contre les bars mais contre l’exploitation des filles, des enfants qui y travaillent.
Elle a relevé au passage que la Première dame, Dominique Ouattara, compte mettre à la disposition de celles qui veulent changer de métier, une aide financière émanant du Fonds d’appui aux femmes de Côte d’Ivoire (FAFCI).
« Je ne suis pas contre les bars, c’est un business, un endroit de rencontre pour se distraire. Ce qui me fâche, c’est l’exploitation des enfants, des filles au sein de ces bars. Quand vous voyez des filles, des enfants exploités, poussés à la prostitution, pensez à vos enfants. Cela n’arrive pas qu’aux autres.
La place d’une petite fille n’est pas dans un bar », a martelé Mme Ouloto.
Pour elle, les filles adultes qui se plaisent dans ce métier sont libres mais celles qui veulent une autre alternative, il leur est permis, à compter de cette année, de bénéficier d'un appui du FAFCI pour leur autonomisation.
« Ce que je veux, c’est que ces filles aient le choix de travailler dans la dignité », a-t-elle insisté.
(AIP)
amak/cmas
Elle a relevé au passage que la Première dame, Dominique Ouattara, compte mettre à la disposition de celles qui veulent changer de métier, une aide financière émanant du Fonds d’appui aux femmes de Côte d’Ivoire (FAFCI).
« Je ne suis pas contre les bars, c’est un business, un endroit de rencontre pour se distraire. Ce qui me fâche, c’est l’exploitation des enfants, des filles au sein de ces bars. Quand vous voyez des filles, des enfants exploités, poussés à la prostitution, pensez à vos enfants. Cela n’arrive pas qu’aux autres.
La place d’une petite fille n’est pas dans un bar », a martelé Mme Ouloto.
Pour elle, les filles adultes qui se plaisent dans ce métier sont libres mais celles qui veulent une autre alternative, il leur est permis, à compter de cette année, de bénéficier d'un appui du FAFCI pour leur autonomisation.
« Ce que je veux, c’est que ces filles aient le choix de travailler dans la dignité », a-t-elle insisté.
(AIP)
amak/cmas