Marcory, Koumassi, Treichville et Port-Bouët sont les quatre communes du district d’Abidjan qui diront à dieu aux pénuries d’eau. Et ce, grâce à la station de traitement d’eau dont l’inauguration est prévu pour le mois de février prochain.
Lancé le 6 août 2012, le projet de station de Bonoua est en passe de devenir une réalité. Le président de la République, Alassane Ouattara, y est même attendu dans le courant de février pour procéder à son inauguration. Une réalisation qui va à coup sûr, soulager les populations de Marcory, Koumassi, Treichville et Port-Bouët y compris celles de Bonoua et de Grand-Bassam. Qui, depuis longtemps ont été privées de cette matière vitale, en raison d’absence d’investissement dans le secteur. «L’absence d’entretien et d’investissements pendant de nombreuses années a entrainé un déficit important d’approvisionnement en eau potable aussi bien en milieu urbain que rural. Ce déficit était de 30% à Abidjan, et d’environ 50% à l’intérieur du pays», avait dépeint le chef de l’Etat. Qui a jugé l’urgence d’y investir afin de permettre à tous les ivoiriens, d’avoir accès à l’eau potable, source de vie, sur l’ensemble du territoire national. Près de trois ans, après le lancement, tout est fin prêt pour couvrir les besoins en eau potable dans les communes Marcory, Koumassi, Treichville et Port-Bouët y compris celles de Bonoua et de Grand-Bassam. Les riverains de ces localités devaient voir leur calvaire prendre fin aujourd’hui, si le calendrier du chef de l’Etat n’avait pas été bousculé. Mais, ce n’est qu’une partie remise. Car, la date prochaine de l’inauguration de la station d’eau de Bonoua a été ramenée au 9 février prochain. Entre temps, à Abobo et Anyama, la situation d’eau demeure critique. En effet, dans ces deux communes, l’eau continue de faire rare. Certains ménages parcourent plusieurs kilomètres pour s’en procurer, quand d’autres sont à la merci des petits revendeurs d’eau. Les plus courageux, passent des nuits blanches à la recherche de cette matière.
Les promesses de Ouattara
En 2012, au lancement des chantiers de la station d’eau de Bonoua, le chef de l’Etat avait pris l’engagement de régler la question de pénurie d’eau à Abidjan et dans les zones rurales du pays. Depuis lors, des chantiers ont été entrepris. Concernant toujours le secteur de l’eau, un premier acte a été donné, à travers l’inauguration du château d’eau de Youpougon- Niangon Nord par le Président Alassane Ouattara. Celui-ci a permis de réduire un déficit estimé à 80%, soit plus de 53 000 m3. Les 20 % de déficit restant devront être comblés par la station de Bonoua I dont l’inauguration est prévue pour aujourd’hui. Au total, ce sont 12 projets qui sont en cours de réalisation, pour un montant de plus de 165 milliards Fcfa. Outre Abidjan, les villes de l’intérieur du pays sont concernées. A terme, il est en vue, selon le président Alassane Ouattara, de mettre gracieusement de l’eau potable à la disposition des populations des zones rurales. «Notre mission ne s’arrêtera pas à l’absorption des déficits actuels, mais elle sera surtout d’anticiper et de planifier la demande future », avait indiqué le chef de l’Etat. Qui ne manque de féliciter son ministre des Infrastructures économiques, Patrick Achi.
HK
Lancé le 6 août 2012, le projet de station de Bonoua est en passe de devenir une réalité. Le président de la République, Alassane Ouattara, y est même attendu dans le courant de février pour procéder à son inauguration. Une réalisation qui va à coup sûr, soulager les populations de Marcory, Koumassi, Treichville et Port-Bouët y compris celles de Bonoua et de Grand-Bassam. Qui, depuis longtemps ont été privées de cette matière vitale, en raison d’absence d’investissement dans le secteur. «L’absence d’entretien et d’investissements pendant de nombreuses années a entrainé un déficit important d’approvisionnement en eau potable aussi bien en milieu urbain que rural. Ce déficit était de 30% à Abidjan, et d’environ 50% à l’intérieur du pays», avait dépeint le chef de l’Etat. Qui a jugé l’urgence d’y investir afin de permettre à tous les ivoiriens, d’avoir accès à l’eau potable, source de vie, sur l’ensemble du territoire national. Près de trois ans, après le lancement, tout est fin prêt pour couvrir les besoins en eau potable dans les communes Marcory, Koumassi, Treichville et Port-Bouët y compris celles de Bonoua et de Grand-Bassam. Les riverains de ces localités devaient voir leur calvaire prendre fin aujourd’hui, si le calendrier du chef de l’Etat n’avait pas été bousculé. Mais, ce n’est qu’une partie remise. Car, la date prochaine de l’inauguration de la station d’eau de Bonoua a été ramenée au 9 février prochain. Entre temps, à Abobo et Anyama, la situation d’eau demeure critique. En effet, dans ces deux communes, l’eau continue de faire rare. Certains ménages parcourent plusieurs kilomètres pour s’en procurer, quand d’autres sont à la merci des petits revendeurs d’eau. Les plus courageux, passent des nuits blanches à la recherche de cette matière.
Les promesses de Ouattara
En 2012, au lancement des chantiers de la station d’eau de Bonoua, le chef de l’Etat avait pris l’engagement de régler la question de pénurie d’eau à Abidjan et dans les zones rurales du pays. Depuis lors, des chantiers ont été entrepris. Concernant toujours le secteur de l’eau, un premier acte a été donné, à travers l’inauguration du château d’eau de Youpougon- Niangon Nord par le Président Alassane Ouattara. Celui-ci a permis de réduire un déficit estimé à 80%, soit plus de 53 000 m3. Les 20 % de déficit restant devront être comblés par la station de Bonoua I dont l’inauguration est prévue pour aujourd’hui. Au total, ce sont 12 projets qui sont en cours de réalisation, pour un montant de plus de 165 milliards Fcfa. Outre Abidjan, les villes de l’intérieur du pays sont concernées. A terme, il est en vue, selon le président Alassane Ouattara, de mettre gracieusement de l’eau potable à la disposition des populations des zones rurales. «Notre mission ne s’arrêtera pas à l’absorption des déficits actuels, mais elle sera surtout d’anticiper et de planifier la demande future », avait indiqué le chef de l’Etat. Qui ne manque de féliciter son ministre des Infrastructures économiques, Patrick Achi.
HK