À l’occasion du Conseil régional de la Fédération des associations des banques et établissements financiers (FAPBEF) de l’Union monétaire et économique ouest-africaine (UEMOA) qui s’est tenu à Abidjan le 27 janvier, le Premier ministre, ministre de l’Économie, des Finances et du Budget, M. Daniel Kablan DUNCAN a appelé les banques de l’espace UEMOA à fournir plus de financements aux petites et moyennes entreprises (PME), en initiant avec les États membres de l’Union, des réformes financières qui garantissent leurs prêts. A ce propos, l’association des banques et établissements financiers de Côte d’Ivoire (APBEFCI) a signé un partenariat avec le Gouvernement pour financer les PME qui détiennent des marchés publics.
Le Chef du Gouvernement a, par ailleurs, encouragé les populations à épargner afin d’accroitre le taux de bancarisation dans l’espace UEMOA qui reste très faible, à l’image de la Côte d’Ivoire où il est estimé à 14%. L’enjeu étant de permettre aux pays de l’Union « de financer de façon endogène » leurs économies pour ne pas qu’ils soient toujours obligés de recourir au crédit, a fait savoir le Premier ministre DUNCAN.
Cette rencontre a donc servi, dans une démarche d’intégration des économies, à trouver les voies et moyens pour lever les contraintes qui empêchent le secteur bancaire et financier d’accorder un financement plus hardi au secteur privé dans l’espace UEMOA qui compte 100 millions d’habitants.
Face à ces contraintes, la FAPBEF a décidé d’accentuer la formation du personnel des banques et œuvrer à l’amélioration de la bancarisation par l’éducation financière des populations.
Des objectifs que s’est assigné le président de l’APBEFCI, M. Souleymane Diarrassouba, après avoir été élu à la tête de la FAPBEF, en remplacement du président sortant, le Burkinabé, M. Pierre Zerbo.
M. DIARRASSOUBA a été élu pour un mandat de deux à la tête d’une fédération créée le 8 septembre 1995 à Cotonou au Bénin et qui compte à ce jour 127 membres.
Le Chef du Gouvernement a, par ailleurs, encouragé les populations à épargner afin d’accroitre le taux de bancarisation dans l’espace UEMOA qui reste très faible, à l’image de la Côte d’Ivoire où il est estimé à 14%. L’enjeu étant de permettre aux pays de l’Union « de financer de façon endogène » leurs économies pour ne pas qu’ils soient toujours obligés de recourir au crédit, a fait savoir le Premier ministre DUNCAN.
Cette rencontre a donc servi, dans une démarche d’intégration des économies, à trouver les voies et moyens pour lever les contraintes qui empêchent le secteur bancaire et financier d’accorder un financement plus hardi au secteur privé dans l’espace UEMOA qui compte 100 millions d’habitants.
Face à ces contraintes, la FAPBEF a décidé d’accentuer la formation du personnel des banques et œuvrer à l’amélioration de la bancarisation par l’éducation financière des populations.
Des objectifs que s’est assigné le président de l’APBEFCI, M. Souleymane Diarrassouba, après avoir été élu à la tête de la FAPBEF, en remplacement du président sortant, le Burkinabé, M. Pierre Zerbo.
M. DIARRASSOUBA a été élu pour un mandat de deux à la tête d’une fédération créée le 8 septembre 1995 à Cotonou au Bénin et qui compte à ce jour 127 membres.
