Abidjan – La ministre auprès du Premier ministre chargée de l’Economie et des Finances, Mme Kaba Nialé, estime que l’émergence économique n’est le fruit ni du hasard ni de la chance qui conduirait à une croissance soutenue.
"Atteindre le stade économique de l’émergence ne provient pas du hasard ou de la chance pour émerger et donner à la croissance un caractère soutenable", a fait savoir Mme Kaba qui, mardi, se saisissant de l’occasion du lancement du magazine économique du groupe Fraternité Matin dénommé "Emergence économique", a partagé sa vision de cette notion.
Selon la ministre, le mot "émergence" représente pour les membres du gouvernement, "une orientation", pour le Premier ministre, "tout un programme d’action" et pour le président de la République à la fois "une ambition et un projet de société pour la Côte d’Ivoire".
"Un pays pauvre doit mettre en place des politiques volontaristes pour convaincre les investisseurs de venir et demeurer chez lui et de chercher à s’insérer avec succès dans l’économie nationale", a-t-elle commenté.
Les reformes attachées à cette émergence constituent des pré-requis, a-t-elle relevé, citant, à ce propos, les réformes liées à la stabilité politique et macro économique, celles liées au dynamisme économique et à l’ouverture sur l’extérieur.
Elle a également noté les réformes touchant le cadre réglementaire de la qualité ainsi que la volonté et la capacité d’attirer les investisseurs.
"Sous la houlette du Président Alassane Ouattara, le pays tout entier est en chantier sur l’ensemble des reformes que je viens de citer afin que l’ambition de faire de la Côte d’Ivoire un pays émergent, à l’horizon 2020, soit une réalité", a-t-elle soutenu.
Des résultats promoteurs ont déjà été obtenus depuis 2012, a dit la ministre qui affirme que le taux de croissance de la Côte d’Ivoire avoisine les 9% en 2014.
kkf/kkp/kam
"Atteindre le stade économique de l’émergence ne provient pas du hasard ou de la chance pour émerger et donner à la croissance un caractère soutenable", a fait savoir Mme Kaba qui, mardi, se saisissant de l’occasion du lancement du magazine économique du groupe Fraternité Matin dénommé "Emergence économique", a partagé sa vision de cette notion.
Selon la ministre, le mot "émergence" représente pour les membres du gouvernement, "une orientation", pour le Premier ministre, "tout un programme d’action" et pour le président de la République à la fois "une ambition et un projet de société pour la Côte d’Ivoire".
"Un pays pauvre doit mettre en place des politiques volontaristes pour convaincre les investisseurs de venir et demeurer chez lui et de chercher à s’insérer avec succès dans l’économie nationale", a-t-elle commenté.
Les reformes attachées à cette émergence constituent des pré-requis, a-t-elle relevé, citant, à ce propos, les réformes liées à la stabilité politique et macro économique, celles liées au dynamisme économique et à l’ouverture sur l’extérieur.
Elle a également noté les réformes touchant le cadre réglementaire de la qualité ainsi que la volonté et la capacité d’attirer les investisseurs.
"Sous la houlette du Président Alassane Ouattara, le pays tout entier est en chantier sur l’ensemble des reformes que je viens de citer afin que l’ambition de faire de la Côte d’Ivoire un pays émergent, à l’horizon 2020, soit une réalité", a-t-elle soutenu.
Des résultats promoteurs ont déjà été obtenus depuis 2012, a dit la ministre qui affirme que le taux de croissance de la Côte d’Ivoire avoisine les 9% en 2014.
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