Abidjan - L’ambassadeur d’Israël en Côte d’Ivoire, SEM. Isi Yanouka, a exhorté, jeudi à Abidjan, les jeunesses du monde à combattre toutes les formes de discrimination, à l’occasion de la commémoration des victimes de l’holocauste.
Selon le diplomate israélien, la stigmatisation de groupes raciaux, ethno-tribaux et religieux est susceptible d’affecter la paix internationale.
Lui emboitant le pas, Mme Poaty Chantal, représentant la Première dame de Côte d’Ivoire, a exhorté les uns et les autres à "l’acceptation mutuelle et au respect du prochain".
"Il est triste que des personnes soient persécutées et exécutées partout dans le monde pour des raisons raciales, ethniques et religieuses", a-t-elle soutenu.
L’administrateur principal pour la protection au Haut commissariat des Nations unies pour les réfugiés (HCR), Innocent Sankara, a pour sa part mis en relief la nécessité d’apporter une protection aux couches les plus vulnérables, notamment les enfants.
"Chaque fois, quand il s’agit de perte de vie humaine, nous sommes tous concernés.
D’où la nécessité d’apporter une protection spécifique aux plus vulnérables que sont les enfants", a-t-il indiqué.
L’holocauste a consisté en l’extermination de six millions de juifs constitués d’enfants, de femmes et d’hommes parce que considérés comme une race inferieure.
Les victimes sont commémorées le 27 janvier de chaque année, rappelle-t-on.
(AIP)
mk/gak/kkp/kam
Selon le diplomate israélien, la stigmatisation de groupes raciaux, ethno-tribaux et religieux est susceptible d’affecter la paix internationale.
Lui emboitant le pas, Mme Poaty Chantal, représentant la Première dame de Côte d’Ivoire, a exhorté les uns et les autres à "l’acceptation mutuelle et au respect du prochain".
"Il est triste que des personnes soient persécutées et exécutées partout dans le monde pour des raisons raciales, ethniques et religieuses", a-t-elle soutenu.
L’administrateur principal pour la protection au Haut commissariat des Nations unies pour les réfugiés (HCR), Innocent Sankara, a pour sa part mis en relief la nécessité d’apporter une protection aux couches les plus vulnérables, notamment les enfants.
"Chaque fois, quand il s’agit de perte de vie humaine, nous sommes tous concernés.
D’où la nécessité d’apporter une protection spécifique aux plus vulnérables que sont les enfants", a-t-il indiqué.
L’holocauste a consisté en l’extermination de six millions de juifs constitués d’enfants, de femmes et d’hommes parce que considérés comme une race inferieure.
Les victimes sont commémorées le 27 janvier de chaque année, rappelle-t-on.
(AIP)
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