Connu pour ses prises de position pour le combat vers une industrialisation pérenne en Côte d’Ivoire et partant tous les pays africains sous-développés, l’ex-ministre, Daniel Anikpo, conseille la formation des jeunes, comme préalable à toute chose. Dans cette deuxième partie de sa chronique de la semaine dernière, il se désolidarise de ceux qui pensent le contraire.
Il importe, en ces temps de souffrances et d’ignorance, que chaque citoyen de notre pays sache que la formation précède l’emploi et le crédit. Et qu’en conséquence, il doit s’inscrire sur le répertoire du compendium des compétences pour se former. Les pensées négatives qui ne voient aucune importance dans la formation, doivent être abandonnées, sinon combattues par tous. Aujourd’hui, nous avons le savoir développer. Et ce savoir développer nous apprend deux choses à réaliser pour changer la société. Il s’agit de l’industrialisation seule et unique voie qui permet à un pays sous-développé de se développer, d’une part, la formation du capital humain est le préalable à l’industrialisation. C’est cette démarche scientifique que la Cpdga applique pour industrialiser localement et globalement la Côte d’Ivoire en un temps record. Il faut en particulier que les jeunes et les femmes qui sont frappés de plein fouet par le chômage massif et l’extrême pauvreté sachent que c’est pour leur bien et leur émancipation économique et sociale qu’ils doivent s’inscrire à ces formations et se former effectivement. Le Credo de la Cpdga : ‘’Nous voulons l’industrialisation ici et maintenant’’, à tous les niveaux de la société ivoirienne. Car, en dehors de l’industrialisation, il n’y a pas d’autres solutions pour le salut de notre pays sous-développé et au chômage massif. Les politiques de développement qui privilégient le matériel et qui consistent à construire des ponts, des routes, des bâtiments et des infrastructures sont celles que notre pays a suivies depuis l’indépendance. Ce sont des solutions de facilité qui sont visibles par les populations. Et ces populations nulles en matière de développement, les applaudissent et les soutiennent. Mais ces politiques ne créent que des emplois temporaires et non des emplois permanents. Elles sont la cause de vos souffrances. Tout le monde voit les déchets sociaux immenses qu’elles produisent et dont sont victimes nos populations (dix millions de chômeurs et douze millions de pauvres). Par contre, l’industrialisation qui met l’homme au centre, passe par les formations, les créations d’entreprises et d’industries, l’offre d’emplois en masse, de revenus et de pouvoir d’achat et donne la prospérité et le bien-être. Et c’est à elle que la Cpdga de la Côte d’Ivoire vous appelle. Cpdga: ‘’Vive l’industrialisation ici et maintenant’’
NB : Le titre et le chapeau sont de la rédaction.
Il importe, en ces temps de souffrances et d’ignorance, que chaque citoyen de notre pays sache que la formation précède l’emploi et le crédit. Et qu’en conséquence, il doit s’inscrire sur le répertoire du compendium des compétences pour se former. Les pensées négatives qui ne voient aucune importance dans la formation, doivent être abandonnées, sinon combattues par tous. Aujourd’hui, nous avons le savoir développer. Et ce savoir développer nous apprend deux choses à réaliser pour changer la société. Il s’agit de l’industrialisation seule et unique voie qui permet à un pays sous-développé de se développer, d’une part, la formation du capital humain est le préalable à l’industrialisation. C’est cette démarche scientifique que la Cpdga applique pour industrialiser localement et globalement la Côte d’Ivoire en un temps record. Il faut en particulier que les jeunes et les femmes qui sont frappés de plein fouet par le chômage massif et l’extrême pauvreté sachent que c’est pour leur bien et leur émancipation économique et sociale qu’ils doivent s’inscrire à ces formations et se former effectivement. Le Credo de la Cpdga : ‘’Nous voulons l’industrialisation ici et maintenant’’, à tous les niveaux de la société ivoirienne. Car, en dehors de l’industrialisation, il n’y a pas d’autres solutions pour le salut de notre pays sous-développé et au chômage massif. Les politiques de développement qui privilégient le matériel et qui consistent à construire des ponts, des routes, des bâtiments et des infrastructures sont celles que notre pays a suivies depuis l’indépendance. Ce sont des solutions de facilité qui sont visibles par les populations. Et ces populations nulles en matière de développement, les applaudissent et les soutiennent. Mais ces politiques ne créent que des emplois temporaires et non des emplois permanents. Elles sont la cause de vos souffrances. Tout le monde voit les déchets sociaux immenses qu’elles produisent et dont sont victimes nos populations (dix millions de chômeurs et douze millions de pauvres). Par contre, l’industrialisation qui met l’homme au centre, passe par les formations, les créations d’entreprises et d’industries, l’offre d’emplois en masse, de revenus et de pouvoir d’achat et donne la prospérité et le bien-être. Et c’est à elle que la Cpdga de la Côte d’Ivoire vous appelle. Cpdga: ‘’Vive l’industrialisation ici et maintenant’’
NB : Le titre et le chapeau sont de la rédaction.
