Abidjan – Le ministre de l’Agriculture, Mamadou Sangafowa Coulibaly, a exprimé son entière adhésion aux recommandations de l’atelier de réflexion sur la relance de la mise en œuvre de la loi sur le foncier rural.
« Je voudrais prendre ici l’engagement au nom du ministère que nous avons l’honneur de conduire et qui a en charge en premier lieu ce dossier, au nom du gouvernement, du Premier ministre, vous dire que le fruit de vos travaux, loin s’en faut, ne peut pas rester dans les tiroirs », a déclaré le ministre de l’Agriculture lors de la clôture de cet atelier.
L’atelier de réflexion sur la relance de la mise en œuvre de la loi sur le foncier rural a réuni, mercredi et jeudi, les différents acteurs, les partenaires techniques, financiers et la société civile dont les résultats des travaux ont recommandé notamment l’élaboration d’une déclaration de politique foncière rurale, l’élaboration d’un document de programme national de sécurisation du foncier rural.
Mais également, l’amélioration du cadre juridique et institutionnel de gestion du foncier rural, la prise de mesures tendant à la simplification des procédures et la réduction des coûts, la mise en place un fonds de sécurisation foncière et la constitution d'un groupe de travail pour la réalisation de ces recommandations.
M. Coulibaly s’est également félicité des conclusions qui ont pour lui de la « valeur ajoutée ». Il a dit compter sur l’ensemble des parties prenantes pour la traduction sur le terrain les conclusions des travaux. Le ministre a rappelé surtout le consensus opéré autour de la loi entre les acteurs politiques ivoirien (partis d’opposition et parti au pouvoir) lors de son adoption en 1998.
« Le foncier dans notre pays a fait l’objet de beaucoup de débats », a-t-il souligné, tout en insistant sur le fait que l’existence d’une loi visant à moderniser le foncier rural est un « acquis » pour la Côte d’Ivoire à l’instar d’autres pays.
La sécurisation foncière, première garantie pour les investissements à long terme piétine depuis une quinzaine d’année. Seulement, 809 certificats fonciers ont été délivrés sur superficie cumulées de 35.461,80 hectares, soit 0,15% des 23 millions d’hectares de terres rurales que compte la Côte d’Ivoire, indique-t-on.
(AIP)
kkf/cmas
« Je voudrais prendre ici l’engagement au nom du ministère que nous avons l’honneur de conduire et qui a en charge en premier lieu ce dossier, au nom du gouvernement, du Premier ministre, vous dire que le fruit de vos travaux, loin s’en faut, ne peut pas rester dans les tiroirs », a déclaré le ministre de l’Agriculture lors de la clôture de cet atelier.
L’atelier de réflexion sur la relance de la mise en œuvre de la loi sur le foncier rural a réuni, mercredi et jeudi, les différents acteurs, les partenaires techniques, financiers et la société civile dont les résultats des travaux ont recommandé notamment l’élaboration d’une déclaration de politique foncière rurale, l’élaboration d’un document de programme national de sécurisation du foncier rural.
Mais également, l’amélioration du cadre juridique et institutionnel de gestion du foncier rural, la prise de mesures tendant à la simplification des procédures et la réduction des coûts, la mise en place un fonds de sécurisation foncière et la constitution d'un groupe de travail pour la réalisation de ces recommandations.
M. Coulibaly s’est également félicité des conclusions qui ont pour lui de la « valeur ajoutée ». Il a dit compter sur l’ensemble des parties prenantes pour la traduction sur le terrain les conclusions des travaux. Le ministre a rappelé surtout le consensus opéré autour de la loi entre les acteurs politiques ivoirien (partis d’opposition et parti au pouvoir) lors de son adoption en 1998.
« Le foncier dans notre pays a fait l’objet de beaucoup de débats », a-t-il souligné, tout en insistant sur le fait que l’existence d’une loi visant à moderniser le foncier rural est un « acquis » pour la Côte d’Ivoire à l’instar d’autres pays.
La sécurisation foncière, première garantie pour les investissements à long terme piétine depuis une quinzaine d’année. Seulement, 809 certificats fonciers ont été délivrés sur superficie cumulées de 35.461,80 hectares, soit 0,15% des 23 millions d’hectares de terres rurales que compte la Côte d’Ivoire, indique-t-on.
(AIP)
kkf/cmas