Dimbokro - Des élèves de l’enseignement secondaire public et privé de Tiémélékro (centre-est, région du Moronou) ont manifesté bruyamment dans la ville, lundi, pour réclamer de l’eau potable devenue denrée rare dans cette localité, a appris l’AIP.
Ces derniers montraient ainsi leur ras-le-bol face à la pénurie généralisée d’eau qui dure depuis plus de six (06) mois. Aussi, le maire Ehouman Oi Ehouman déplore-t-il cette situation qui crée des désagréments dans sa cité.
"Les fonctionnaires de notre cité menaçaient de quitter la ville si des réponses n’étaient pas trouvées à la question d’eau potable qui ne coule plus des robinets. Nous avons entrepris de nombreuses démarches. L’ONEP (office national de l'eau potable) est venu par la suite nous offrir un nouveau forage qui malheureusement n’est pas encore fonctionnel, les travaux d’équipement n’ayant pas encore débuté", a-t-il expliqué.
Il a déploré par ailleurs "notre camion citerne reçu de cette structure vient de nous être brutalement retiré". Le maire Ehouman assure cependant qu’un courrier a été adressé à la direction générale de l’ONEP pour lui rappeler que "cette situation très tendue risque d’impacter négativement le climat social paisible avec les manifestations d’élèves de la ville, heureusement maitrisées avec l’intervention et le rappel à l’ordre des autorités sous-préfectorales et communales".
"Des actions sont déployées auprès des structures compétentes pour que le stress (lié au manque d'eau) dont souffrent les populations de Tiémélékro depuis six mois soit oublié", rassure le premier magistrat de Tiémélékro.
(AIP)
zgrp/ask
Ces derniers montraient ainsi leur ras-le-bol face à la pénurie généralisée d’eau qui dure depuis plus de six (06) mois. Aussi, le maire Ehouman Oi Ehouman déplore-t-il cette situation qui crée des désagréments dans sa cité.
"Les fonctionnaires de notre cité menaçaient de quitter la ville si des réponses n’étaient pas trouvées à la question d’eau potable qui ne coule plus des robinets. Nous avons entrepris de nombreuses démarches. L’ONEP (office national de l'eau potable) est venu par la suite nous offrir un nouveau forage qui malheureusement n’est pas encore fonctionnel, les travaux d’équipement n’ayant pas encore débuté", a-t-il expliqué.
Il a déploré par ailleurs "notre camion citerne reçu de cette structure vient de nous être brutalement retiré". Le maire Ehouman assure cependant qu’un courrier a été adressé à la direction générale de l’ONEP pour lui rappeler que "cette situation très tendue risque d’impacter négativement le climat social paisible avec les manifestations d’élèves de la ville, heureusement maitrisées avec l’intervention et le rappel à l’ordre des autorités sous-préfectorales et communales".
"Des actions sont déployées auprès des structures compétentes pour que le stress (lié au manque d'eau) dont souffrent les populations de Tiémélékro depuis six mois soit oublié", rassure le premier magistrat de Tiémélékro.
(AIP)
zgrp/ask