Voici, par le menu, comment et pourquoi après de longues heures de tractations, les 24 et 25 janvier 2003 à Paris, le chef de l'État ivoirien a donné son accord sur le partage du pouvoir à Abidjan.
Il y a plus d'un mois déjà, après dix jours de conclave à Linas-Marcoussis (du nom d'une petite agglomération de la région parisienne), les acteurs de la crise ivoirienne ont tous apposé leur signature au bas d'un accord. Le vendredi 24 janvier, vers 2 heures du matin, les frères ennemis d'hier, main dans la main, ont entonné l'Abidjanaise, l'hymne national, pour saluer leur succès. Au terme des accords, le chef de l'État ivoirien restera donc en place jusqu'en octobre 2005, terme de son mandat actuel, mais devra, au cours des deux années à venir, partager le pouvoir avec un... suite de l'article sur L’Inter
Il y a plus d'un mois déjà, après dix jours de conclave à Linas-Marcoussis (du nom d'une petite agglomération de la région parisienne), les acteurs de la crise ivoirienne ont tous apposé leur signature au bas d'un accord. Le vendredi 24 janvier, vers 2 heures du matin, les frères ennemis d'hier, main dans la main, ont entonné l'Abidjanaise, l'hymne national, pour saluer leur succès. Au terme des accords, le chef de l'État ivoirien restera donc en place jusqu'en octobre 2005, terme de son mandat actuel, mais devra, au cours des deux années à venir, partager le pouvoir avec un... suite de l'article sur L’Inter