Hier jeudi 5 février, le procès des pro-Gbagbo devant la Cour d’assises a connu une ambiance particulière avec l’audition de Jean Jacques Béchio.
L’ancien ministre a servi à l’assistance son franc-parler légendaire qui fait dire à certain qu’il parle mal. Il a donné la vraie raison de son arrestation. «On dit que je parle mal. Non! je ne parle pas mal, je dis la vérité. Je ne peux pas appeler un lièvre un chat. Je suis ici parce que j’ai parlé à la télévision, et ça n’a pas fait plaisir à certaines personnes», a-t-il déclaré.
Il était entendu sur sa présence dans le camp Gbagbo, lors de la crise post-électorale. Avec lui, trois autres dignitaires de l’ex-pouvoir ont comparu devant la Cour d’assises. Il... suite de l'article sur L’Inter
L’ancien ministre a servi à l’assistance son franc-parler légendaire qui fait dire à certain qu’il parle mal. Il a donné la vraie raison de son arrestation. «On dit que je parle mal. Non! je ne parle pas mal, je dis la vérité. Je ne peux pas appeler un lièvre un chat. Je suis ici parce que j’ai parlé à la télévision, et ça n’a pas fait plaisir à certaines personnes», a-t-il déclaré.
Il était entendu sur sa présence dans le camp Gbagbo, lors de la crise post-électorale. Avec lui, trois autres dignitaires de l’ex-pouvoir ont comparu devant la Cour d’assises. Il... suite de l'article sur L’Inter