Abidjan – La dernière otage américaine aux mains du groupe Etat islamique (EI), Kayla Jean Mueller, a été tuée lors d'un raid aérien de la coalition internationale dans la région de Raqqa (nord de la Syrie), a annoncé vendredi l’EI.
"L'aviation de la coalition croisée a bombardé une position en dehors de la ville de Raqqa après les prières du vendredi. Aucun combattant n'a été touché mais nous pouvons confirmer qu'une otage américaine a été tuée par les frappes", a indiqué l'EI dans un communiqué diffusé sur des sites jihadistes.
D'après l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH), les frappes menées vendredi dans le nord de la Syrie ont coûté la vie à "au moins 30 jihadistes, mais certainement plus".
Dans le titre du communiqué, l'EI mentionne que l'aviation "jordanienne" a tué une otage américaine, mais le texte parle d'une frappe de la "coalition". Le communiqué signé par le bureau d'informations de la province de Raqqa ne comporte pas de photos du corps de l'otage. Il est toutefois accompagné de photos de ruines, présentées comme les décombres du bâtiment dans lequel l'otage a péri.
Selon le New York Times, l'otage, une travailleuse humanitaire originaire de l'Arizona, avait été enlevée en août 2013 alors qu'elle se rendait à Alep avec son petit ami syrien. Ses proches avaient reçu une preuve de vie par vidéo quelques semaines plus tard. La jeune femme, vêtue d'un voile, y demandait que l'on épargne sa vie.
"Nous sommes très préoccupés par ces affirmations. Mais nous n'avons pas de preuve pour l'instant", a réagi la Maison Blanche.
(AIP)
cmas
"L'aviation de la coalition croisée a bombardé une position en dehors de la ville de Raqqa après les prières du vendredi. Aucun combattant n'a été touché mais nous pouvons confirmer qu'une otage américaine a été tuée par les frappes", a indiqué l'EI dans un communiqué diffusé sur des sites jihadistes.
D'après l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH), les frappes menées vendredi dans le nord de la Syrie ont coûté la vie à "au moins 30 jihadistes, mais certainement plus".
Dans le titre du communiqué, l'EI mentionne que l'aviation "jordanienne" a tué une otage américaine, mais le texte parle d'une frappe de la "coalition". Le communiqué signé par le bureau d'informations de la province de Raqqa ne comporte pas de photos du corps de l'otage. Il est toutefois accompagné de photos de ruines, présentées comme les décombres du bâtiment dans lequel l'otage a péri.
Selon le New York Times, l'otage, une travailleuse humanitaire originaire de l'Arizona, avait été enlevée en août 2013 alors qu'elle se rendait à Alep avec son petit ami syrien. Ses proches avaient reçu une preuve de vie par vidéo quelques semaines plus tard. La jeune femme, vêtue d'un voile, y demandait que l'on épargne sa vie.
"Nous sommes très préoccupés par ces affirmations. Mais nous n'avons pas de preuve pour l'instant", a réagi la Maison Blanche.
(AIP)
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